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Radu Mihaileanu tourne au Canada

Par Mickabenda @judaicine
Radu Mihaileanu

Pour son premier film en langue anglaise, L’histoire de l’amour. Radu Mihaileanu revient sur les plateaux pour une grande saga. Près de quatre ans après la sortie de La source des femmes, le réalisateur de Train de vie adapte le roman éponyme de l’Américaine Nicole Krauss. Une fiction hantée par la Shoah, offrant une méditation déchirante sur la mémoire et le deuil; mais c’est avant tout un hymne à la vie.

Le tournage se déroule principalement au Canada, avec quelques jours aux États-Unis et en Roumanie.

L’histoire :
À New York, la jeune Alma ne sait comment surmonter la mort de son père. Elle croit trouver la solution dans un livre que sa mère traduit de l’espagnol, et dont l’héroïne porte le même prénom qu’elle.
Non loin de là, un très vieil homme se remet à écrire, ressuscitant la Pologne de sa jeunesse, son amour perdu, le fils qui a grandi sans lui.
Et au Chili, bien des années plus tôt, un exilé compose un roman…

Trois solitaires qu’unit pourtant, à leur insu, le plus intime des liens : un livre unique, L’histoire de l’amour, dont ils vont devoir, chacun à sa manière, écrire la fin.

Pour son premier film en langue anglaise, L’histoire de l’amour. Radu Mihaileanu revient sur les plateaux pour une grande saga. Près de quatre ans après la sortie de La source des femmes, le réalisateur de Train de vie adapte le roman éponyme de l’Américaine Nicole Krauss. Une fiction hantée par la Shoah, offrant une méditation déchirante sur la mémoire et le deuil; mais c’est avant tout un hymne à la vie.

Le tournage se déroule principalement au Canada, avec quelques jours aux États-Unis et en Roumanie.

L’histoire :
À New York, la jeune Alma ne sait comment surmonter la mort de son père. Elle croit trouver la solution dans un livre que sa mère traduit de l’espagnol, et dont l’héroïne porte le même prénom qu’elle.
Non loin de là, un très vieil homme se remet à écrire, ressuscitant la Pologne de sa jeunesse, son amour perdu, le fils qui a grandi sans lui.
Et au Chili, bien des années plus tôt, un exilé compose un roman…

Trois solitaires qu’unit pourtant, à leur insu, le plus intime des liens : un livre unique, L’histoire de l’amour, dont ils vont devoir, chacun à sa manière, écrire la fin.


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