Depuis le billet mis en ligne en 2010, où je parlais de rock-and-roll, je n’ai pas accordé d’importance à la Fête de la Musique!
Cette année, le 21 juin tombe un dimanche, c’est Ramadan, je suis bien dans ma peau : alors pourquoi ne pas célébrer ma propre Fête de la Musique en patageant avec vous certains moments misicaux que j’apprécie!
A tout seigneur tout honeur !
La musique andalouse, AL ALA, surtout quand elle est interprétée par un orchestre de ma ville, elle a une fraicheur spéciale : la preuve avec ce morceau joué et chanté par l’ochestre Temsamani !
Puis un petit plongeaon dans la chanson poulmaire bien de chez nous, avec Brahim Alami et son Ma7la Ifrane, à écouter en regardant les très belles vues de la cité des cèdres!
Faisons un détour par la chanson française, importante pour les personnes de ma génération : le choix est vaste mais pour moi, il reste le plus grand ! Jacques BREL, bien sûr ! Et je choisis l’une de ses moins tristes pour cette fête de la musique : La valse à mille temps !
Entre un petit morceau de jazz – Louis Amstong dans “Le vie en rose” – et une plage de blues – B.B. King et sa guitare – je vous invite à déguster un moment sde sérénité avec Karima Skalli dans une invocation soufie qui vient fort à propos en cette période.
Mais que serait une fête de la musique, sans la joie et le le rythme comme on le vit si bien avec cette famille, au risque de choquer les esprits puritains et grincheux !
La musique sait être sérieuse, très sérieuse, tout en restant profondément humaine et en s’ancrant dans le fond de la culture d’un pays : l’Orchestre Philhamonique du Maroc nous offre ici une version “sophitiquée” d’un morceau d’anthologie folklorique nationale, Ya Bent Bladi de feu Abdeslam CHKARA.
Peut-on êre arabe en fétant la musique sans écouter Oum Kaltom dans “Al Atlal”
Et comment peut-on être marocain sans se souvemir de Mohamed Hayani dans “RAHILA”
Ou sans s’émouvoir en entendant les envolées vocales de Abdelhadi Belkhyat interprétant “QitarAl Hayat”
Ma fête de la musique doit sembler bien ringarde à une certaine jeunesse : ùmais avouez que je ne suis pas obligé d’aimer le rap et les trémoussements de petites jeunettes et de leur préférer Nass Ghinouane version orogonale.Je ne peux me retenir de partager avec vous cette longue, très longue vidéo du premier concert de ce groupe à Rabat, au Théatre Mohamed V : j’y étais et je ne l’ai jamais oublié!
Beaucoup de choses ont changé depuis, beacuoup d’artistes sont arrivés et ont disparu, mais la musique andalouse est toujours là, la musique pupulaire, la vraie musique !
Bonne fête à tous ceux et celles qui aiment la musique!