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Les terroriches

Publié le 30 juin 2015 par Le Journal De Personne
De la vermine, tout le monde en parle.
Mais de la Palestine, plus personne n'en parle !
On vit sous le dict., le diktat, la dictature de l'impersonnel, d'une parole anonyme et d'une force maligne dont l'essentiel de l'activité consiste à noyer le poisson :
Quelle étrange expression : "noyer le poisson"
C'est tout ce qu'ils ont trouvé pour que leurs péchés passent inaperçus ?
- Noyer le poisson, c'est diluer leurs délits sans risquer d'être poursuivis pour délit de fuite.
- Noyer le poisson, c'est mettre l'impensable sur la table sans que le coupable se sente coupable, ni le responsable, responsable.

On va essayer d'y voir plus clair en se mouillant au lieu de continuer à noyer le poisson comme le font si bien les guignols de l'info en combinant le vrai et le faux.
On dit : qu'on achète l'or noir aux sales blancs. On leur vend des armes puis on les désarme en leur faisant la guerre pour qu'ils nous vendent leur pétrole beaucoup moins cher... et pour qu'à leurs dépens, on prospère...
On voit tout de suite de quoi mais pas de qui on parle !
Ce cycle est infernal... mais ça en dit long sur les nuisances des puissants... sur la puissance de l'argent... le capital qui ne distingue pas le bien du mal.
On le sait mais on fait mine de ne pas le savoir :
Le terrorisme n'est pas n'importe quelle marchandise.

C'est de l'argent... une devise qui dynamise tout le marché financier où tout s'achète et tout se vend au plus offrant.
Les uns thésaurisent, les autres terrorisent...

Plus de morts, cela veut dire : plus de blé pour les détenteurs de capitaux, capito ?
Il faut qu'on se le dise, le capitalisme a de plus en plus besoin de morts pour vivre.
On l'a compris, ce genre d'infos, n'est jamais relayé que par les folles du logis, les guignols et compagnie qui forcent le trait pour qu'on n'aille jamais voir de près.
À qui profite le crime ? À celui qui a les riches comme amis intimes.
On en rit en croyant que c'est pour rire ! Alors que c'est pourri.
J'ai failli oublier de préciser que le poisson que nous nous employons à noyer : c'est NOUS... les fish, les pigeons, les dindons de la farce.
C'est avec notre peau sur les os qu'on finance le terrorisme qui rapporte plus qu'il n'en coûte !

Et tous ces attentats qui mettent en danger l'intégrité de nos états ?
C'est de la poudre aux yeux... un voile de maya.
Samsara qui fait passer l'illusion pour une valeur pour qu'on n'accède jamais au Nirvana qui voit jusqu'à quel point la valeur est une illusion.


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