Sauf canicule persistante, je compte bien vous y faire déguster le mate. Dans un lieu consacré aux cultures des peuples premiers, c'est bien le moindre hommage que l'on puisse rendre aux peuples originaires d'Argentine, puisque cette boisson considérée comme un emblème national dans ce pays comme au Paraguay, en Uruguay et au Chili, vient tout droit du peuple m'bya (guarani) qui l'a laissé transformer par les pères jésuites en une infusion à base d'eau chaude...
Pendant tout l'été et jusqu'à la fin septembre, le musée propose une intéressante exposition intitulée l'Inca et le Conquistador, ce qui nous envoie voyager du côté péruvien, un moment idéal donc pour vous proposer mes livres sur San Martín, qui défit le travail de conquête des conquistadors espagnols en rendant la liberté à ces pays, l'Argentine, le Chili et en tout dernier lieu, le plus difficile, le Pérou :
- San Martín A rebours des conquistadors, Editions du Jasmin, décembre 2012
- San Martín par lui-même et par ses contemporains, Editions du Jasmin, mai 2014
Et le 17 août, Día de San Martín en Argentine (1), j'entamerai une nouvelle chronique d'Argentine avec un programme déjà chargé de présentations à Buenos Aires puis un autre, tout aussi intense sinon plus, à Mendoza. Dès que les dates et les lieux sont fixés, j'annonce tout cela, en espagnol en priorité, sur ce blog comme sur ma page Facebook et l'agenda de mon site Internet.
(1) Il se trouve que cette année, le Día de San Martín tombe un lundi et qu'il sera bien fêté ce jour-là, qui est férié en Argentine. Et comme ce sera aussi le troisième lundi du mois, ce sera un plenario de la Academia Nacional del Tango et nous y deviserons, avec Gabriel Soria et Vanina Steiner, de la revue Tinta Roja, sur le thème Francia y el Tango.