Alors certes, l’athlète grec de l’Antiquité adorait faire du sport à poil, mais il avait aussi sa pudeur. Ainsi, bien que fort comme un chêne, il détestait montrer son gland. Car cette partie de son anatomie était considérée à l’époque comme l’ornement corporel ultime (bien qu’il exhibait en permanence ses boules même hors saison de Noël) et ne devait être réservé qu’à la vue de quelques élu(e)s.
Alors durant les jeux sportifs, il avait recours au kynodesme. Le kynodesme était une fine lanière de cuir qui venait se nouer autour du prépuce et s’attachait ensuite à la taille. Et hop, caché le bout ! De plus, à cette époque, la longueur du prépuce était un gage de respectabilité. En gros, plus ça pendouillait, plus on t’aimait.
Et après le sport, madame (ou monsieur) pouvait défaire le noeud du noeud comme si c’était un cadeau ! La classe !
Réflexion personnelle : Et si le mec avait une érection impromptue, tout le « système » devait faire penser à un arc, non ? Le verbe bander prenait alors complètement sons sens !
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