Les vacances sont terminées, et l’été lui aussi bientôt se termine… Les joies innocentes de l’été ont laissé la place à des prises de conscience salutaires.
Mais il n’y a pas de raison de ne pas continuer à vivre et le blog devient pour moi un passe-temps nécessaire, une pause dans la journée, une habitude rassurante ? Sans doute. C’est dans cet esprit que je me retrouve à faire le point sur mes lectures de l’été pour le challenge « Destination PAL« . Voilà à quoi ressemblait ma PAL de départ au 1er juillet et en quoi je lui ai été plus ou moins fidèle jusqu’au 31 août :
Toni Morrison, BelovedElizabeth Von Arnim, Avril enchantéAndré Dhôtel, Le pays où l’on n’arrive jamais- Amitav Ghosh, Les feux du Bengale
Maylis de Kerangal, Réparer les vivants- Jean de la Varende, Le non de Monsieur Rudel
Bilan : 4 sur 6, ce n’est pas si mal parce que les lectures « obligées » – même choisies par moi ! – c’est comme les bonnes résolutions, ça ne tient guère. J’ai donc entrecoupé mon programme d’autres envies de lectures :
- Thomas Hervouët, Les pieuses combines de Réginald (qui traînait sur la table basse et me faisait de l’oeil avec sa belle couverture orange et son titre goguenard) ;
- Mitsuyo Kakuta, La cigale du huitième jour ♥♥♥ (un achat conscient et confiant en l’avis de mon libraire – je n’ai pas été déçue)
- J.-K. Rowling, Harry Potter and the Order of the Phoenix (je m’étais arrêtée au n°4 il y a bien longtemps) ;
- Harlan Coben, Tell no one (un thriller tout écorné trouvé dans la bibliothèque de mon frère, qui l’avait reçu de son prof parce qu’il était le meilleur en anglais… Avec 7 ans de retard : bravo frérot ;) ).
Mais je compte lire bientôt les deux « oubliés » du lot ; ils patienteront encore sagement sur leur bout d’étagère… (Ils sont habitués, c’est leur destinée après tout ;) ).
Atterrissage !
Et pour une fois, je dévoile quelques titres qui figurent dans ma PAL de rentrée, mais que je compte lire au petit bonheur :
- Chroniques de l’oiseau à ressort de Haruki Murakami (parce que ma découverte de Mitsuyo Kakuta m’a donné l’envie de rester encore un peu au Japon et que cet auteur tant loué ne pouvait rester indéfiniment inconnu de moi) ;
- La vérité sur l’affaire Harry Québert de Joël Dicker (parce que je lorgnais dessus depuis un bout de temps sans me décider, à cause des concerts de louanges et des sérieux bémols suscités par ce bouquin) ;
- L’inconnue de Bengalore d’Anita Nair (pour faire revivre mon challenge personnel sur l’Inde, bien délaissé).
Et enfin, toute une pile de livres anglais (+ un américain) et en anglais prêtés par ma chère grand’mère, qui sponsorise ainsi de belle manière ma participation au « Year in England » et au mois américain :
- Jeffrey Archer, A Twist in the Tale
- Julian Barnes, Talking it Over
- Pearl S. Buck, Pavilion of Women => Voilà l’intrus
- Agatha Christie, A Caribbean Mystery
- Agatha Christie, The Murder at the Vicarage
- Eugenie Fraser, The House by the Dvina. A Russian Childhood.
- P.-D. James, An Unsuitable Job for a Woman
- Elizabeth Von Arnim, Vera ; The Caravaners ; Fraulein Schmidt and Mr. Anstruther
I think I’ll need loads of english tea to get through all this reading!
Henri Le Sidaner, La tasse de thé