Chronique réalisée par Rose
:star: Avec ou sans mots doux… de Cari Quinn
Nombre de pages : 288 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 2 septembre 2015
Collection : Passion intense
Langue : Français
ISBN-10: 2290099147
ISBN-13: 9782290099148
Prix Éditeur : 6,00 €
Disponible sur Liseuse : OuiSon résumé :
Architecte d’intérieur dans la petite ville de Haven, Victoria Townsend est aussi consultante pour un magazine lancé par l’homme d’affaires Cory Santangelo. Mais leur collaboration est quelque peu mouvementée par leurs incessantes discordes. Or, même s’ils sont comme chien et chat, Victoria a un sacré faible pour son patron. D’ailleurs, leur étreinte passionnée après un gala de charité semble confirmer que lui non plus n’est pas insensible. C’est alors que Cory propose à Victoria de se faire passer pour sa petite amie durant un mois, afin que ses parents cessent de le harceler sur sa vie amoureuse. Ni une ni deux, Victoria accepte…
Mon avis :
Prenez une soirée pleine de paparazzi. Prenez un homme et une femme qui se cherchent depuis un moment, et qui se retrouvent à faire l’amour sous un belvédère, durant cette même soirée. Précisez que l’homme est le propriétaire du magazine que l’on fête à cette soirée. Résultat : quelques jolies photos publiées sur le net ! Avouez que ce n’est pas banal !
Cory et Vic sont des extrêmes. C’est bien simple : ils s’engueulent pour tout, ils ne sont jamais d’accord ! Même si au fond, on sait bien qu’ils partagent les mêmes valeurs, les mêmes envies. Cory est un acharné du travail, à tel point que ses parents lui ont posé un ultimatum : s’il souhaite continuer à travailler pour le journal, il doit se trouver une compagne. Et c’est donc tout naturellement à Vic qu’il propose le rôle. Vic qui le rend fou, qui l’exaspère, et qui en même temps est sa plus proche collaboratrice. Les étincelles qu’ils dégagent sont palpables à la lecture !
Cory au début est assez froid, il passe un peu pour une ordure autoritaire et intransigeante. Mais l’histoire l’amène vraiment à changer, au fur et à mesure on le voit évoluer. Vic, son amie d’enfance, est davantage dans les émotions, le ressenti (même si elle ne le montre pas toujours). Ayant une réputation de coureuse depuis des années, elle cache bien des fêlures. Leur « fausse » relation est même triste à certains moments, quand on se rend compte qu’ils jouent une comédie dont ils rêvent dans la vraie vie.
Humour, amour, sexe, réparties qui font mouche… sont quelques-uns des ingrédients de ce titre. On peut regretter un style très banal en-dehors des quelques piques qui font sourire. Les scènes érotiques sont tout à fait à la hauteur de la romance, il n’y a aucune vulgarité. Pour passer du coq à l’âne, je trouve que les parents de Cory sont des personnages très sympathiques, même si on ne se doute pas forcément dès le début de toutes les ficelles qu’ils ont décidé de mettre en place
On garde un bon souvenir de cette romance, même si certaines scènes auraient mérité un développement plus important, et d’autres au contraire auraient pu être supprimées !
Acheter ce livre chez J’ai Lu Pour Elle
Chronique réalisée par Rose
:star: Avec ou sans mots doux… de Cari Quinn
Nombre de pages : 288 pages
Éditeur : J’ai Lu
Date de sortie : 2 septembre 2015
Collection : Passion intense
Langue : Français
ISBN-10: 2290099147
ISBN-13: 9782290099148
Prix Éditeur : 6,00 €
Disponible sur Liseuse : OuiSon résumé :
Architecte d’intérieur dans la petite ville de Haven, Victoria Townsend est aussi consultante pour un magazine lancé par l’homme d’affaires Cory Santangelo. Mais leur collaboration est quelque peu mouvementée par leurs incessantes discordes. Or, même s’ils sont comme chien et chat, Victoria a un sacré faible pour son patron. D’ailleurs, leur étreinte passionnée après un gala de charité semble confirmer que lui non plus n’est pas insensible. C’est alors que Cory propose à Victoria de se faire passer pour sa petite amie durant un mois, afin que ses parents cessent de le harceler sur sa vie amoureuse. Ni une ni deux, Victoria accepte…
Mon avis :
Prenez une soirée pleine de paparazzi. Prenez un homme et une femme qui se cherchent depuis un moment, et qui se retrouvent à faire l’amour sous un belvédère, durant cette même soirée. Précisez que l’homme est le propriétaire du magazine que l’on fête à cette soirée. Résultat : quelques jolies photos publiées sur le net ! Avouez que ce n’est pas banal !
Cory et Vic sont des extrêmes. C’est bien simple : ils s’engueulent pour tout, ils ne sont jamais d’accord ! Même si au fond, on sait bien qu’ils partagent les mêmes valeurs, les mêmes envies. Cory est un acharné du travail, à tel point que ses parents lui ont posé un ultimatum : s’il souhaite continuer à travailler pour le journal, il doit se trouver une compagne. Et c’est donc tout naturellement à Vic qu’il propose le rôle. Vic qui le rend fou, qui l’exaspère, et qui en même temps est sa plus proche collaboratrice. Les étincelles qu’ils dégagent sont palpables à la lecture !
Cory au début est assez froid, il passe un peu pour une ordure autoritaire et intransigeante. Mais l’histoire l’amène vraiment à changer, au fur et à mesure on le voit évoluer. Vic, son amie d’enfance, est davantage dans les émotions, le ressenti (même si elle ne le montre pas toujours). Ayant une réputation de coureuse depuis des années, elle cache bien des fêlures. Leur « fausse » relation est même triste à certains moments, quand on se rend compte qu’ils jouent une comédie dont ils rêvent dans la vraie vie.
Humour, amour, sexe, réparties qui font mouche… sont quelques-uns des ingrédients de ce titre. On peut regretter un style très banal en-dehors des quelques piques qui font sourire. Les scènes érotiques sont tout à fait à la hauteur de la romance, il n’y a aucune vulgarité. Pour passer du coq à l’âne, je trouve que les parents de Cory sont des personnages très sympathiques, même si on ne se doute pas forcément dès le début de toutes les ficelles qu’ils ont décidé de mettre en place
On garde un bon souvenir de cette romance, même si certaines scènes auraient mérité un développement plus important, et d’autres au contraire auraient pu être supprimées !