Ou coailler. Mais le plus souvent (si j’ose dire) on trouve (avec du bol) le verbe écrit comme dans le titre de cet article. Et il va falloir que je meuble sacrément car comme pour vigeonner, quoailler n’a pas une définition de 50 lignes et reste propre à une action bien précise. Quoailler induit une question de mouvement et il est certain que ce verbe était bien plus utilisé avant l’avènement des véhicules à moteur (machines agricoles comprises).
Car c’est le cheval qui quoaille (même quand il fait chaud), enfin certains chevaux seulement. Et le cheval qui quoaille à l’air d’être heureux en permanence. Pourquoi ? Et bien parce que, amoureux et adoratrices des mots rares, je l’écris bien fort, un cheval qui quoaille remue sans cesse la queue !
Et, désolé de freiner à ce point votre enthousiasme mesdames, mais même si votre mari ou conjoint n’est pas un mauvais cheval et a bien une haleine de poney le matin au réveil, il y a fort peu de chances qu’il quoaille !