Le canard que quelqu'un a dû oublier sur le bar... "Libération"... ça m'a rappelé Sartre et Beauvoir... l'âge d'or et le café de Flore...Saint Germain des Près... le Grand soir.
Avec mon humeur chagrine, j'ai mis par hasard le doigt sur la Palestine ou plus exactement sur la vermine Benyamin qui gouverne ses proches en Orient.
Je vous lis un premier passage qui en dit long sur l'étalon hébreu : c'est à la page 6 :
"Mardi dernier, plusieurs médias de l'État hébreu ont ainsi publié une photo sur laquelle Benyamin fait semblant de surveiller des manœuvres de l'armée israélienne en ayant oublié d'enlever les caches de sa paire de jumelles".
Ah ! Sacré Benyamin qui s'efforce de singer Chaplin... dans le Dictateur en donnant encore une fois raison à Platon qui estime qu'un tyran est nécessairement con... je veux dire ignorant.
Les forts, que je sache, ne font jamais semblant d'être forts... s'ils le font, c'est qu'ils ne sont pas si forts, c'est qu'ils sont faibles.
Au lieu de rire, je me suis surprise entrain de déduire, de faire des déductions :
-Et si Israël n'était pas aussi fort qu'il en a l'air ?
Il a peut-être des jumelles, mais qui ne lui servent ni à regarder devant, ni derrière...
Je vous lis un deuxième passage qui peut défigurer plus d'un visage !
Retenez bien votre souffle, même si notre idiot ne manque pas d'air... voici ce qu'il a déclaré mot pour mot à la tribune du 37ème congrès de l'organisation mondiale du sionisme :
"Hitler ne voulait pas exterminer les juifs à l'époque, seulement les expulser".
Mais le Mufti de Jérusalem Al-Husseini est allé voir Hitler et lui a dit : "si vous les expulsez, ils viendront tous en Palestine".
Alors que devrais-je faire ? demanda Hitler. Brûlez-les ! répondit Al-Husseini.
Vous vous rendez-compte ? Non, vous ne vous rendez pas compte !
C'est à tous les juifs que je m'adresse. Tous les juifs qui ont donné les leviers de commande au plus abruti d'entre eux, celui qui se trahit en trahissant leurs plus basses manœuvres.
C'est le plus idiot de la famille qui nous révèle à l'insu de son congrès que la politique israélienne est bel et bien une mystification... de la poudre aux yeux de l'opinion "internationale".
Libération crie au scandale en taxant Benyamin de révisionniste à l'encontre de son propre camp.
Mais en vérité, c'est bien plus grave, c'est une propagande d'envergure, alarmiste et futuriste qui cherche à prouver que le nazisme est moins horrible que l'islamisme et donc plus compatible avec le sionisme. Qu'Hitler est un enfant de chœur comparé à l'horreur d'un musulman sans cœur.
C'est l'islam l'auteur et le fauteur de tous les troubles... même Hitler n'a fait qu'obéir à une fatwa.
Il a exterminé les élus parce qu'il était déterminé par les zélés.
Tout à l'heure, je n'ai pas ri... mais là vous ne m'empêcherez pas de pleurer sur le sort d'Hitler, qui n'était tout compte fait qu'une victime expiatoire des vrais barbares.
C'est le Grand pardon... ce n'est pas la haine mais Hanin qui distribue les rôles...
C'est l'islam qui va jouer le mauvais, le pire des rôles pour que l'empire contre-attaque... et mette tous les musulmans dans le même sac !
Je me demande en toute bonne foi, si on ne va pas aussi interdire la Goutte d'or à Benyamin pour l'empêcher de transformer le politique en genre comique.