Ce soir, les deux musiciens se retrouvent ensemble en scène pour mélanger le chamamé de l'est à la chacarera de l'ouest au Centro Cultural Torquato Tasso, ce vendredi 30 octobre 2015, à 20h30, Defensa 1575.
Entrée : 250 $ (plus les consommations).
Musique tellurique, à forte influence amérindienne, en perspective sous ce titre : De los ecos de la puna a los cantos de la selva (des échos des hauts-plateaux aux chants de la forêt). Et ce sont leurs débuts tous les deux ensemble.
Couverture du supplément culturel de Página/12
Ayala au premier plan avec ses moustaches
Torres est au second plan
Pour l'occasion, Página/12 les a interviewés tous les deux cette semaine (interview parue hier, en une des pages culturelles). Ce fut aussi le cas du journal télévisé de la chaîne publique, Visión 7.
Le premier concert est pour ce soir. Il sera renouvelé plusieurs fois tout au long du mois de novembre. L'événement fait partie des célébrations des vingt ans de cette salle de concert de quartier.
Pour en savoir plus : lire l'interview de Página/12 visiter le site Internet du TorquatoTasso, qui dispose aussi d'une page Facebook Ramón Ayala a une page qui lui est consacrée sur le site de laFundación Memoria del Chamamé avec trois morceaux à écouter parmi ses plus connus. Jaime Torres quant à lui dispose d'un site Web complet.
(1) Le charango est un petit instrument à cordes pincées qui croise l'ancienne viole médiévale, la guitare espagnole et des instruments amérindiens, notamment la caisse de résonance, traditionnellement fournie par une carapace de tatou. Il donne l'un des sons les plus typiques de la musique folklorique du nord de l'Argentine.