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La fille qui cherchait son chien (et trouva l’amour) de Meg Donohue

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

:star: La fille qui cherchait son chien (et trouve l’amour) de Meg Donohue

La fille qui cherchait son chien (et trouva l’amour) de Meg DonohueBroché: 320 pages
Editeur : Mosaic
Date de sortie : 4 novembre 2015
Collection : MOSAÏC B
Langue : Français
ISBN-10: 2280282526
ISBN-13: 978-2280282529
Prix : 13€90
Disponible sur Liseuse : OUI

Son résumé :

Une jolie psy qui ne tourne pas rond et qui a perdu l’amour. Une ado qui parcourt inlassablement les rues de la ville à la recherche de son chien. Un garçon amoureux en secret qui la suit. Une famille un brin bancale. Un séduisant célibataire qui fuit les sentiments…
Dans ce roman décalé et rafraîchissant, où bat le cœur de San Francisco, Meg Donohue brosse une galerie de portraits drôles et attachants où chaque personnage, toujours relié aux autres, cherche son chien à sa manière : avec nostalgie, avec passion, avec vulnérabilité… et finit par se trouver lui-même et rencontrer l’amour.
Un regard tendre et drôle porté sur les liens qui unissent les êtres humains entre eux, et à leurs compagnons les plus fidèles.

Mon avis :

Je décerne mon coup de cœur littéraire automnal à La fille qui cherchait son chien (et trouva l’amour). Ce livre est une douceur exquise. Sincèrement, je n’ai pas réussi à lâcher le livre une seule fois, tant j’ai été prise par ce tourbillon de sentiments agréables, délicats et apaisants. J’avais d’abord beaucoup accroché avec cette couverture décalée et acidulée, puis le résume avait fini de me convaincre : ce livre était fait pour moi. Finalement, je ne suis pas trompée.

Nous faisons la connaissance de Maggie Brennan, une psy pas comme les autres. La petite trentaine, Maggie est spécialiste dans le deuil animal. Après avoir abandonné sa vie tranquille, un boulot intéressant mais plan-plan et un homme pas très excitant, elle part vivre avec Toby, son chien, à San Francisco. Mais Maggie cache un petit mais lourd secret : depuis le mort de son fidèle compagnon, elle a développé des TOC et souffre d’agoraphobie. Difficile à imaginer pour une psychothérapeute. Mais pourtant, le destin va la mettre sur le chemin d’Anya, une jeune femme qui cherche inlassablement son chien, Billy. Et les deux femmes sont se compléter à leur manière, formant un duo délirant et passionnant, qui va les sortir de leur routine et les aider à affronter leurs peurs.

Je reconnais que les premières pages ne m’ont pas tellement convaincues. Je me demandais concrètement à quel type de livre j’allais avoir affaire, ayant peur que l’intrigue ne se concentre exclusivement sur le deuil animal et la douce folie d’une psy.

Pourtant, dès l’apparition d’Anya dans l’histoire, j’ai été conquise. Maggie est un personnage adorable, névrosé et tellement attachant : il est impossible de lui résister. C’est la première héroïne du bouquin et son évolution est tout bonnement incroyable. Quant à Anya, j’ai eu un énorme coup de cœur pour elle. Du haut de ses 19 ans, elle fait preuve d’un sang-froid et d’une maturité incroyable, même si il est aisé de penser le contraire. Pas étonnant que le duo entre nos deux héroïnes fonctionnent à merveille. L’alchimie est palpable et elle est tellement douce, tellement profonde et tellement délicate qu’il est impossible de rester de marbre face à ce couple pas comme les autres, bancal. Les deux personnages principaux sont attractifs. Mais les secondaires ne sont pas en reste.

J’ai été touchée par le dévouement de Henry et de Huan. Ces deux personnages masculins, pas assez présents à mon goût, sont tellement et profondément bons que je défie quiconque de ne rien ressentir à leurs égards. Sans parler de Lourdes, la meilleure amie de Maggie, une sœur comme on n’en fait plus, ou encore la famille aimante mais bancale d’Anya, sa grand-mère en tête. Bien sûr, je n’oublie pas nos amis à 4 pattes, que ce soit avec Gisèle ou Seymour. Ce sont les vedettes du roman. L’auteur a su donner vie et animer ces petits boules de poils grâce à la magie de ses mots : croyez-moi, ils sont tellement mignons que vous n’allez pas pouvoir résister.

Quant à l’intrigue, je dois dire qu’une nouvelle fois, j’ai été aussi surprise que conquise. Pour une fois, rien qui ne sorte de l’ordinaire ou qui paraît juste irréel. Rassurez-vous : le livre ne tourne pas juste autour de la mort. Non, il est bourré d’amitié, d’amour, d’humour et de moments joyeux. Meg Donohue a, à mes yeux, voulu rendre hommage aux compagnons à poils qui illuminent nos vies. Et je dois dire que c’est réussi. Elle a écrit un joli petit « conte de fées » , une douce et jolie histoire entre deux personnes qui ne devaient pas se rencontrer, un peu à la manière d’Anna Gavalda dans Ensemble, c’est tout. Personnellement, l’histoire m’a beaucoup touchée. On va suivre Maggie sur le chemin de la guérison et avec elle, nous allons aider Anya à faire le deuil de son chien. C’est une ode à la vie, à l’amitié, à l’amour et aux chiens.

La plume de Meg Donohue est délicate, pleine de finesse et de poésie. Aucun temps mort dans le roman : on ne s’ennuie, finalement, pas un seul instant. Une histoire d’amitié entre deux femmes que tout aurait pu opposer, une aventure sur le douloureux chemin du deuil, une balade dans les rues de San Francisco avec des petites boules de poils et en prime, pas un mais bien deux princes charmants : un roman plein d’espoir, de vie, de poésie et d’amour. Croyez-moi : l’histoire de cette psy un peu folle ne laissera personne indemne.

Excellent

Coup de Coeur

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:star: La fille qui cherchait son chien (et trouve l’amour) de Meg Donohue

La fille qui cherchait son chien (et trouva l’amour) de Meg DonohueBroché: 320 pages
Editeur : Mosaic
Date de sortie : 4 novembre 2015
Collection : MOSAÏC B
Langue : Français
ISBN-10: 2280282526
ISBN-13: 978-2280282529
Prix : 13€90
Disponible sur Liseuse : OUI

Son résumé :

Une jolie psy qui ne tourne pas rond et qui a perdu l’amour. Une ado qui parcourt inlassablement les rues de la ville à la recherche de son chien. Un garçon amoureux en secret qui la suit. Une famille un brin bancale. Un séduisant célibataire qui fuit les sentiments…
Dans ce roman décalé et rafraîchissant, où bat le cœur de San Francisco, Meg Donohue brosse une galerie de portraits drôles et attachants où chaque personnage, toujours relié aux autres, cherche son chien à sa manière : avec nostalgie, avec passion, avec vulnérabilité… et finit par se trouver lui-même et rencontrer l’amour.
Un regard tendre et drôle porté sur les liens qui unissent les êtres humains entre eux, et à leurs compagnons les plus fidèles.

Mon avis :

Je décerne mon coup de cœur littéraire automnal à La fille qui cherchait son chien (et trouva l’amour). Ce livre est une douceur exquise. Sincèrement, je n’ai pas réussi à lâcher le livre une seule fois, tant j’ai été prise par ce tourbillon de sentiments agréables, délicats et apaisants. J’avais d’abord beaucoup accroché avec cette couverture décalée et acidulée, puis le résume avait fini de me convaincre : ce livre était fait pour moi. Finalement, je ne suis pas trompée.

Nous faisons la connaissance de Maggie Brennan, une psy pas comme les autres. La petite trentaine, Maggie est spécialiste dans le deuil animal. Après avoir abandonné sa vie tranquille, un boulot intéressant mais plan-plan et un homme pas très excitant, elle part vivre avec Toby, son chien, à San Francisco. Mais Maggie cache un petit mais lourd secret : depuis le mort de son fidèle compagnon, elle a développé des TOC et souffre d’agoraphobie. Difficile à imaginer pour une psychothérapeute. Mais pourtant, le destin va la mettre sur le chemin d’Anya, une jeune femme qui cherche inlassablement son chien, Billy. Et les deux femmes sont se compléter à leur manière, formant un duo délirant et passionnant, qui va les sortir de leur routine et les aider à affronter leurs peurs.

Je reconnais que les premières pages ne m’ont pas tellement convaincues. Je me demandais concrètement à quel type de livre j’allais avoir affaire, ayant peur que l’intrigue ne se concentre exclusivement sur le deuil animal et la douce folie d’une psy.

Pourtant, dès l’apparition d’Anya dans l’histoire, j’ai été conquise. Maggie est un personnage adorable, névrosé et tellement attachant : il est impossible de lui résister. C’est la première héroïne du bouquin et son évolution est tout bonnement incroyable. Quant à Anya, j’ai eu un énorme coup de cœur pour elle. Du haut de ses 19 ans, elle fait preuve d’un sang-froid et d’une maturité incroyable, même si il est aisé de penser le contraire. Pas étonnant que le duo entre nos deux héroïnes fonctionnent à merveille. L’alchimie est palpable et elle est tellement douce, tellement profonde et tellement délicate qu’il est impossible de rester de marbre face à ce couple pas comme les autres, bancal. Les deux personnages principaux sont attractifs. Mais les secondaires ne sont pas en reste.

J’ai été touchée par le dévouement de Henry et de Huan. Ces deux personnages masculins, pas assez présents à mon goût, sont tellement et profondément bons que je défie quiconque de ne rien ressentir à leurs égards. Sans parler de Lourdes, la meilleure amie de Maggie, une sœur comme on n’en fait plus, ou encore la famille aimante mais bancale d’Anya, sa grand-mère en tête. Bien sûr, je n’oublie pas nos amis à 4 pattes, que ce soit avec Gisèle ou Seymour. Ce sont les vedettes du roman. L’auteur a su donner vie et animer ces petits boules de poils grâce à la magie de ses mots : croyez-moi, ils sont tellement mignons que vous n’allez pas pouvoir résister.

Quant à l’intrigue, je dois dire qu’une nouvelle fois, j’ai été aussi surprise que conquise. Pour une fois, rien qui ne sorte de l’ordinaire ou qui paraît juste irréel. Rassurez-vous : le livre ne tourne pas juste autour de la mort. Non, il est bourré d’amitié, d’amour, d’humour et de moments joyeux. Meg Donohue a, à mes yeux, voulu rendre hommage aux compagnons à poils qui illuminent nos vies. Et je dois dire que c’est réussi. Elle a écrit un joli petit « conte de fées » , une douce et jolie histoire entre deux personnes qui ne devaient pas se rencontrer, un peu à la manière d’Anna Gavalda dans Ensemble, c’est tout. Personnellement, l’histoire m’a beaucoup touchée. On va suivre Maggie sur le chemin de la guérison et avec elle, nous allons aider Anya à faire le deuil de son chien. C’est une ode à la vie, à l’amitié, à l’amour et aux chiens.

La plume de Meg Donohue est délicate, pleine de finesse et de poésie. Aucun temps mort dans le roman : on ne s’ennuie, finalement, pas un seul instant. Une histoire d’amitié entre deux femmes que tout aurait pu opposer, une aventure sur le douloureux chemin du deuil, une balade dans les rues de San Francisco avec des petites boules de poils et en prime, pas un mais bien deux princes charmants : un roman plein d’espoir, de vie, de poésie et d’amour. Croyez-moi : l’histoire de cette psy un peu folle ne laissera personne indemne.

Excellent


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