Dans « Un autre jour est possible« , du 23 novembre au 27 novembre 2015 », une série :
Après le choc, trouver les mots, chercher les remèdes, avec Tobie Nathan
Une semaine après les attentats qui ont ensanglanté Paris, comment exprimer avec les mots le choc et l’horreur vécus ? Quels mots utiliser, quels remèdes possibles pour se relever ? Tobie Nathan nous livre ses réflexions en s’appuyant sur des exemples concrets : Le Cambodge, la Guinée, l’Allemagne nazie… Quand les peuples font face à la terreur programmée.
Tewfik Hakem : Un autre jour est possible
1/5 : Premier épisode : Le sens des mots pour une clarification conceptuelle, le cas Kosovo (Peur, Frayeur, Terreur…)
2/5 : Deuxième épisode : La terreur comme instrument politique.
3/5 : Troisième épisode : L’exemple de la Guinée.
4/5 : Quatrième épisode : Existe-t-il des méthodes psychothérapiques contre la terreur ?
5/5 : Cinquième épisode : La prévention
« La terreur est un acte intellectuel qui résulte d’une pensée »
« Soigner la douleur, c’est rétablir les attachements »
« Il faut de l’intelligence pour combattre la terreur. Pas de la terreur ! »
« La thérapie permet de passer du statut de victime au statut de témoin »
« Il faut apporter de la pensée complexe aux populations à risques, qu’on croit démunies »
Tobie Nathan