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JARDINS MIGRATEURS de CONSTANTINOPLE & ABLAYE CISSOKO.

Publié le 13 décembre 2015 par Marie-Noelle Imbart @MarieNoImbart
Facebook les-jardins-migrateurs-album-du-dimanche-1.jpg.jpegJardins Migrateurs – Album du dimanche by Afrozap

« Jardins migrateurs », album du trio musicale Constantinople et du maître de la Kora, Ablaye Cissoko, une rencontre surprenante entre le Sénégal et l’Iran.

« Jardins Migrateurs », Rencontre poétique entre cordes et voix, des épopées du Royaume mandingue aux musiques de cours persanes. C’est l’album que j’ai envie de vous faire découvrir ce dimanche. Après avoir déposer votre bulletin dans l’urne, fait votre marché, pris un café quelque part à la terrasse d’un bar toulousain, vous aurez besoin de quelques minutes de dépaysement.  C’est ce que vous offre l’album « Jardins migrateurs ». Albaye Cissoko (kora et au chant)  s’associe à Kiya Tabassian ( setar & chant), Pierre-Yves Martel (viola da gamba) et Ziya Tabassian ( Tombak et percussions) pour nous offrir, ce bijou.

10 titres, 10 étapes pour découvrir les « Jardins Migrateurs »

La douceur du timbre de voix d’Albaye Cissoko qui se méle aux lignes mélodiques d’une richesse folle,  des arrangements fins, de la virtuosité, justesse et humilité, subliment cette rencontre.  Ces 10 chansons qui incitent à l’apaisement, à l’écoute, à l’attention, à l’amour de l’être tout simplement. Tels sont les sentiments qui ont animés mon être à l’écoute de l’album  » Jardins Migrateurs ». Je vous laisse découvrir le second titre « Soutouro », une composition d’Ablaye Cissoko. Ce titre décrit l’action d’aider quelqu’un dans le besoin, mais en le faisant discrètement et avec humilité. C’est un de mes titres préférés. Le second titre  à découvrir « Poisson au fond de l’océan » est assez prenant. Un pièce instrumentale qui évoque la balade d’un poisson, dans les profondeurs de l’océan. Celui-ci revisite les mémoires de l’être et de l’humanité.  En fermant les yeux, juste un instant, on peut apercevoir les reflets de la lumière traverser l’eau pour disparaître dans abysses. « Before the rain », l’avant dernier titre de l’album que j’écoute en boucle. Les auteurs de ce morceau explique qu’il traduit un moment de réflexion sur ce sur ce que nous avons accompli, notre état présent et ce dont nous attendons de l’avenir. Exactement, l’état d’esprit dans lequel je me trouve actuellement. Trèves de bavardage, je vous laisse partir à découverte de ces jardins migrateurs.  Que cette rencontre vous soit agréable !

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