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Black-out de Connie Willis

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique par LittlepadfootLittlepadfoot

:star: Black-out : Blitz, première partie de Connie Willis

Black-out Blitz, première partie de Connie WillisNombre de pages :  796 pages
Editeur :  J’ai Lu
Date de sortie :  12 mars 2014
Collection :  Science-fiction
Langue :  Français
ISBN-10: 2290071021
ISBN-13:  978-2290071021
Prix Editeur :  9,90€
Disponible sur Liseuse : NON

Son résumé :

En 2060, l’histoire n’a plus rien d’une discipline poussiéreuse. Grâce à la maîtrise du voyage dans le temps, les chercheurs de l’université d’Oxford se rendent fréquemment dans le passé, au plus près des événements qu’ils étudient – la guerre de Sécession, l’attaque de Pearl Harbour, les attentats du World Trade Center – pour collecter des données toujours plus précises. Mais à trop vouloir s’approcher du feu de l’action, on finit par s’y brûler. C’est ce qu’apprendront à leurs dépens les jeunes historiens envoyés au coeur de l’horreur de la Seconde Guerre mondiale. Car à Londres, en 1940, les bombes nazies n’ont plus rien d’une abstraction.

Mon avis :

Cela fait très longtemps que ce titre me tentait et sa sortie en poche m’a décidée à m’y mettre ! M’intéressant beaucoup aux livres historiques et surtout à ceux qui portent sur la seconde guerre mondiale, j’étais très emballée par le résumé. En 2060, les historiens ne restent plus dans les archives et une nouvelle technologie leur permet de voyager dans le temps aux endroits précis sur lesquels ils travaillent.

On va suivre plusieurs historiens, au début on est plus en 2060 dans l’université d’Oxford où tout un complexe de recherche et donc de voyage dans le temps est installé. On rentre dans le récit assez brusquement et on est clairement largué en 2060, dans un monde futuriste  qui nous est inconnu.

J’avais plein de questions qui fourmillaient dans mon esprit, des choses que je ne trouvais pas logique ou dont je ne comprenais pas le fonctionnement, mais au final les réponses m’ont été apportées au fil du récit. Il n’y a pas vraiment eu une grosse phase introduction et explication au sens propre du terme, l’auteur a su expliquer son univers à travers ses personnages, même si certaines choses restent encore un peu obscures, j’imagine que j’aurais les réponses dans le second tome.

Durant la presque totalité du récit, on est durant la seconde guerre mondiale et surtout en Angleterre durant le Blitz, qui correspond à l’année 1940. Cela correspond à la période où l’Allemagne a bombardé de manière intensive l’Angleterre. On va principalement suivre trois historiens. Il y a Michael, qui se fait appeler Mike Davis en 1940, qui part pour Douvres pour étudier les héros lors de l’évacuation des bateaux. Il y a Polly Sebastian, qui part pour Londres même afin de s’engager en tant que vendeuse et y étudier ses collègues sur place ainsi que leur adaptation au Blitz. Pour finir, il y a Merope, qui est Eileen en 1940 et qui part dans la campagne de Londres afin de s’engager comme nourrice dans un manoir où sont les enfants réfugiés.

J’ai trouvé les trois personnages très intéressants, même si j’avais ma petite préférence pour Eileen, j’ai trouvé que ces chapitres étaient les plus intéressants. On avait également droit à d’autres personnages, des historiens, donc on sait très peu de chose, et qui apparaissent très peu au fil de l’histoire. J’ai trouvé cela un peu étrange, il y a par exemple Mary Kent, qui s’engage comme ambulancière. Il y a quelques chapitres qui lui sont consacrés, puis plus rien passé la moitié du livre…Peut-être que j’en saurais plus dans le second tome.

Les chapitres étaient articulées et axées tour à tour sur chacun de ces personnages, principalement. Les pages se tournaient plutôt vite, malgré l’épaisseur de ce roman, car généralement le chapitre d’un personnage terminait sur un joli suspense et il fallait lire un ou deux chapitres afin de tout savoir. J’ai donc lu ce livre sans difficulté. Bien sûr, il y a tout de même quelques longueurs mais rien de très gênant selon moi.

J’ai trouvé le concept très intéressant et très bien exploité par l’auteur. Je ne me suis rien imaginée de spécial, je me suis laissée portée par cette histoire originale et j’ai adoré ! Le roman est évidemment très bien ancré historiquement. D’autant plus que c’est le côté historique par rapport à la vie de tous les jours en tant de guerre, que ce soit les soldats, les civils ou les enfants.

Ce livre étant un premier tome, la moitié du livre est une introduction très réussie dont j’ai bien eu besoin pour tout assimiler de l’univers de Connie Willis. Je me suis laissée embarquée par son histoire et j’en redemande. J’ai hâte de lire son second tome mais aussi les autres livres qu’elle a écrit sur le même univers, comme Sans parler du chien et Les Veilleurs.

Excellent

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Chronique par LittlepadfootLittlepadfoot

:star: Black-out : Blitz, première partie de Connie Willis

Black-out Blitz, première partie de Connie WillisNombre de pages :  796 pages
Editeur :  J’ai Lu
Date de sortie :  12 mars 2014
Collection :  Science-fiction
Langue :  Français
ISBN-10: 2290071021
ISBN-13:  978-2290071021
Prix Editeur :  9,90€
Disponible sur Liseuse : NON

Son résumé :

En 2060, l’histoire n’a plus rien d’une discipline poussiéreuse. Grâce à la maîtrise du voyage dans le temps, les chercheurs de l’université d’Oxford se rendent fréquemment dans le passé, au plus près des événements qu’ils étudient – la guerre de Sécession, l’attaque de Pearl Harbour, les attentats du World Trade Center – pour collecter des données toujours plus précises. Mais à trop vouloir s’approcher du feu de l’action, on finit par s’y brûler. C’est ce qu’apprendront à leurs dépens les jeunes historiens envoyés au coeur de l’horreur de la Seconde Guerre mondiale. Car à Londres, en 1940, les bombes nazies n’ont plus rien d’une abstraction.

Mon avis :

Cela fait très longtemps que ce titre me tentait et sa sortie en poche m’a décidée à m’y mettre ! M’intéressant beaucoup aux livres historiques et surtout à ceux qui portent sur la seconde guerre mondiale, j’étais très emballée par le résumé. En 2060, les historiens ne restent plus dans les archives et une nouvelle technologie leur permet de voyager dans le temps aux endroits précis sur lesquels ils travaillent.

On va suivre plusieurs historiens, au début on est plus en 2060 dans l’université d’Oxford où tout un complexe de recherche et donc de voyage dans le temps est installé. On rentre dans le récit assez brusquement et on est clairement largué en 2060, dans un monde futuriste  qui nous est inconnu.

J’avais plein de questions qui fourmillaient dans mon esprit, des choses que je ne trouvais pas logique ou dont je ne comprenais pas le fonctionnement, mais au final les réponses m’ont été apportées au fil du récit. Il n’y a pas vraiment eu une grosse phase introduction et explication au sens propre du terme, l’auteur a su expliquer son univers à travers ses personnages, même si certaines choses restent encore un peu obscures, j’imagine que j’aurais les réponses dans le second tome.

Durant la presque totalité du récit, on est durant la seconde guerre mondiale et surtout en Angleterre durant le Blitz, qui correspond à l’année 1940. Cela correspond à la période où l’Allemagne a bombardé de manière intensive l’Angleterre. On va principalement suivre trois historiens. Il y a Michael, qui se fait appeler Mike Davis en 1940, qui part pour Douvres pour étudier les héros lors de l’évacuation des bateaux. Il y a Polly Sebastian, qui part pour Londres même afin de s’engager en tant que vendeuse et y étudier ses collègues sur place ainsi que leur adaptation au Blitz. Pour finir, il y a Merope, qui est Eileen en 1940 et qui part dans la campagne de Londres afin de s’engager comme nourrice dans un manoir où sont les enfants réfugiés.

J’ai trouvé les trois personnages très intéressants, même si j’avais ma petite préférence pour Eileen, j’ai trouvé que ces chapitres étaient les plus intéressants. On avait également droit à d’autres personnages, des historiens, donc on sait très peu de chose, et qui apparaissent très peu au fil de l’histoire. J’ai trouvé cela un peu étrange, il y a par exemple Mary Kent, qui s’engage comme ambulancière. Il y a quelques chapitres qui lui sont consacrés, puis plus rien passé la moitié du livre…Peut-être que j’en saurais plus dans le second tome.

Les chapitres étaient articulées et axées tour à tour sur chacun de ces personnages, principalement. Les pages se tournaient plutôt vite, malgré l’épaisseur de ce roman, car généralement le chapitre d’un personnage terminait sur un joli suspense et il fallait lire un ou deux chapitres afin de tout savoir. J’ai donc lu ce livre sans difficulté. Bien sûr, il y a tout de même quelques longueurs mais rien de très gênant selon moi.

J’ai trouvé le concept très intéressant et très bien exploité par l’auteur. Je ne me suis rien imaginée de spécial, je me suis laissée portée par cette histoire originale et j’ai adoré ! Le roman est évidemment très bien ancré historiquement. D’autant plus que c’est le côté historique par rapport à la vie de tous les jours en tant de guerre, que ce soit les soldats, les civils ou les enfants.

Ce livre étant un premier tome, la moitié du livre est une introduction très réussie dont j’ai bien eu besoin pour tout assimiler de l’univers de Connie Willis. Je me suis laissée embarquée par son histoire et j’en redemande. J’ai hâte de lire son second tome mais aussi les autres livres qu’elle a écrit sur le même univers, comme Sans parler du chien et Les Veilleurs.


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