C’est toujours la cuillère de fer blanc au rebut,
le bric-à-brac de la misère que j’ai cherchés,
espérant qu’un beau jour
inondés de pleurs, doucement m’accueilleront
la vieille cour, le silence de lierre
de notre demeure, son chuchotement.
Toujours,
j’ai toujours eu la nostalgie du retour.
***
János Pilinszky (Budapest, Hongrie 1931-1981) – Traduit du hongrois par Lorand Gaspar et Sarah Clair