Magazine Culture

Les pèlerins d’Yssel 1 : Les pêcheurs de Linden Oliver

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

Chronique d’Eole Eole

:star:   Les pèlerins d’Yssel 1 : Les pêcheurs, Linden Oliver

Les pèlerins d’Yssel 1 Les pêcheurs, Linden OliverNombre de pages : 334
Éditeur :  La Bourdonnaye
Date de sortie :  7 janvier 2016
Collection :  Imaginaires
Langue :  Français
ISBN-10:  2824211334
ISBN-13:  978-2824211336
Prix Éditeur :  21,50€
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Loin au-dessus de ce monde, la lumière d’Yssel, l’étoile protectrice de l’Humanité, faiblit dangereusement sans que personne ne s’en aperçoive. Sur Terre, les passions se déchaînent. Vaincus par les humains, les elfes se sont éteints. Mais en disparaissant, ils ont donné naissance aux lunarels, un peuple mi-humain, mi-elfe. Durement opprimés, les lunarels se mettent à rêver de liberté et d’indépendance. Une révolte gronde. Dans le royaume d’Abhorn, le prince-servant Haert se protège des complots en éliminant ceux qui se dressent entre le trône et lui. Seule sa soeur Elvire tente de lui résister. Célèbre et valeureuse générale, Moéva d’Arézar est poussée à l’exil malgré sa victoire décisive contre les Pillards Pourpres et le sacrifice des ses guerrières, les Dames d’Yssel. En route pour son dernier voyage, elle rencontrera Saerra, jeune lunarelle aux pouvoirs magiques prometteurs, qu’elle prendra sous sa protection. Lors de leur périple, les deux femmes se joindront au premier-chevalier Brilliân qui se rend en Outre-Ezar pour y mener une quête mystérieuse. Dans les ruines de leurs cités maudites, les fantômes des elfes murmurent inlassablement vengeance. L’horizon change et bascule doucement vers des temps incertains. Un antique danger menace. L’humanité survivra-t-elle ? Qui parviendra à la sauver ?

Mon Avis :

La couverture et le résumé étaient très prometteurs pour moi, j’aime lire de la fantasy, j’ai l’habitude des longues descriptions (j’ai lu Tolkien quoi) et la lenteur dans une histoire ne me dérange pas. Mais là, j’avoue que je ne comprends pas trop mais ça a été un abandon…

Le roman s’ouvre sur une femme qui regarde brûler ses compagnes d’armes sur des bûchers, son ordre, Les Dames d’Yssel, vient d’être démantelées par le roi et celles qui restent doivent fuir. Ensuite, on passe sur la jeune sœur du roi Elvyre, qui refuse la dissolution de l’ordre. Puis on passe sur le roi, Haert, ou plutôt le prince-régnant, qui va mâter une rébellion à l’est du royaume. Et au bout d’un tiers du roman…on en est toujours là ! Alors oui, j’aime quand les romans prennent le temps d’installer un univers, mais sur un roman d’uniquement 300 pages, j’attends tout de même que l’univers s’installe un peu plus rapidement, d’autant plus qu’il n’y a par la suite qu’un second tome et que je ne sais pas s’il y en aura plus.

Pour moi, ce roman a déjà des chapitres très longs, fourmillant de détails mais avec parfois des répétitions, et comme l’action n’avance pas, j’ai quand même mis plus d’une semaine pour lire 100 pages, autant vous dire que ça ne m’arrive jamais ! Ensuite, chaque chapitre suit un personnage différent mais sans jamais parler des autres, et avec la carte assez imprécise fournie en début de roman, j’avoue que j’ai eu du mal à me repérer et dans l’espace, et dans les personnages. Et de ce fait, j’ai eu beaucoup de mal à m’y attacher.

J’ai trouvé Moeva, la dame d’Yssel, très froide. Certes elle a une éducation et elle a vécu des moments difficiles, mais je l’ai trouvée si froide qu’elle ne m’a pas permis de m’attacher à elle, à part une profonde souffrance je n’ai pas vu de complexité dans ce personnage et c’est dommage car c’est censé être le personnage principal.

J’ai un peu plus apprécié le personnage du prince Haert, bien qu’il soit horrible car j’ai entraperçu une dualité en lui : il est cruel et il a des sentiments très ambivalents pour sa femme, et pourtant j’ai senti qu’il avait un bon potentiel d’évolution.

Et pour en revenir à la lenteur du livre, il faut tout de même attendre le tiers du roman pour voir arriver le personnage de la lunarelle dont il est question dans le résumé…

Cependant, même si j’ai abandonné le roman, je dois reconnaitre que l’univers était intéressant, la plume de l’auteur était agréable à lire et fourmillait de détails ce qui est toujours appréciable. Si je n’ai pas continué c’est tout d’abord, comme je l’ai dit, parce que je ne me suis pas attachée aux personnages, et ensuite car quand je me suis renseignée sur les avis concernant le roman, apparemment il reste lent, très lent tout le long, il n’y a pas spécialement d’action et la fin ne révèle pas d’événements importants, ce qui ne m’a pas encouragée à le continuer.

Ceci dit, j’ai été me renseigner sur Livraddict, et ce roman est très bien noté, donc ne vous arrêtez pas à mon avis.

Moyen

Acheter ce roman sur Amazon

Chronique d’Eole Eole

:star:   Les pèlerins d’Yssel 1 : Les pêcheurs, Linden Oliver

Les pèlerins d’Yssel 1 Les pêcheurs, Linden OliverNombre de pages : 334
Éditeur :  La Bourdonnaye
Date de sortie :  7 janvier 2016
Collection :  Imaginaires
Langue :  Français
ISBN-10:  2824211334
ISBN-13:  978-2824211336
Prix Éditeur :  21,50€
Disponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Loin au-dessus de ce monde, la lumière d’Yssel, l’étoile protectrice de l’Humanité, faiblit dangereusement sans que personne ne s’en aperçoive. Sur Terre, les passions se déchaînent. Vaincus par les humains, les elfes se sont éteints. Mais en disparaissant, ils ont donné naissance aux lunarels, un peuple mi-humain, mi-elfe. Durement opprimés, les lunarels se mettent à rêver de liberté et d’indépendance. Une révolte gronde. Dans le royaume d’Abhorn, le prince-servant Haert se protège des complots en éliminant ceux qui se dressent entre le trône et lui. Seule sa soeur Elvire tente de lui résister. Célèbre et valeureuse générale, Moéva d’Arézar est poussée à l’exil malgré sa victoire décisive contre les Pillards Pourpres et le sacrifice des ses guerrières, les Dames d’Yssel. En route pour son dernier voyage, elle rencontrera Saerra, jeune lunarelle aux pouvoirs magiques prometteurs, qu’elle prendra sous sa protection. Lors de leur périple, les deux femmes se joindront au premier-chevalier Brilliân qui se rend en Outre-Ezar pour y mener une quête mystérieuse. Dans les ruines de leurs cités maudites, les fantômes des elfes murmurent inlassablement vengeance. L’horizon change et bascule doucement vers des temps incertains. Un antique danger menace. L’humanité survivra-t-elle ? Qui parviendra à la sauver ?

Mon Avis :

La couverture et le résumé étaient très prometteurs pour moi, j’aime lire de la fantasy, j’ai l’habitude des longues descriptions (j’ai lu Tolkien quoi) et la lenteur dans une histoire ne me dérange pas. Mais là, j’avoue que je ne comprends pas trop mais ça a été un abandon…

Le roman s’ouvre sur une femme qui regarde brûler ses compagnes d’armes sur des bûchers, son ordre, Les Dames d’Yssel, vient d’être démantelées par le roi et celles qui restent doivent fuir. Ensuite, on passe sur la jeune sœur du roi Elvyre, qui refuse la dissolution de l’ordre. Puis on passe sur le roi, Haert, ou plutôt le prince-régnant, qui va mâter une rébellion à l’est du royaume. Et au bout d’un tiers du roman…on en est toujours là ! Alors oui, j’aime quand les romans prennent le temps d’installer un univers, mais sur un roman d’uniquement 300 pages, j’attends tout de même que l’univers s’installe un peu plus rapidement, d’autant plus qu’il n’y a par la suite qu’un second tome et que je ne sais pas s’il y en aura plus.

Pour moi, ce roman a déjà des chapitres très longs, fourmillant de détails mais avec parfois des répétitions, et comme l’action n’avance pas, j’ai quand même mis plus d’une semaine pour lire 100 pages, autant vous dire que ça ne m’arrive jamais ! Ensuite, chaque chapitre suit un personnage différent mais sans jamais parler des autres, et avec la carte assez imprécise fournie en début de roman, j’avoue que j’ai eu du mal à me repérer et dans l’espace, et dans les personnages. Et de ce fait, j’ai eu beaucoup de mal à m’y attacher.

J’ai trouvé Moeva, la dame d’Yssel, très froide. Certes elle a une éducation et elle a vécu des moments difficiles, mais je l’ai trouvée si froide qu’elle ne m’a pas permis de m’attacher à elle, à part une profonde souffrance je n’ai pas vu de complexité dans ce personnage et c’est dommage car c’est censé être le personnage principal.

J’ai un peu plus apprécié le personnage du prince Haert, bien qu’il soit horrible car j’ai entraperçu une dualité en lui : il est cruel et il a des sentiments très ambivalents pour sa femme, et pourtant j’ai senti qu’il avait un bon potentiel d’évolution.

Et pour en revenir à la lenteur du livre, il faut tout de même attendre le tiers du roman pour voir arriver le personnage de la lunarelle dont il est question dans le résumé…

Cependant, même si j’ai abandonné le roman, je dois reconnaitre que l’univers était intéressant, la plume de l’auteur était agréable à lire et fourmillait de détails ce qui est toujours appréciable. Si je n’ai pas continué c’est tout d’abord, comme je l’ai dit, parce que je ne me suis pas attachée aux personnages, et ensuite car quand je me suis renseignée sur les avis concernant le roman, apparemment il reste lent, très lent tout le long, il n’y a pas spécialement d’action et la fin ne révèle pas d’événements importants, ce qui ne m’a pas encouragée à le continuer.

Ceci dit, j’ai été me renseigner sur Livraddict, et ce roman est très bien noté, donc ne vous arrêtez pas à mon avis.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Artemissia Gold 67457 partages Voir son profil
Voir son blog

Magazines