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« Dlo-coucoune  » les contes épicés de Laurette Mas-Camille.

Publié le 14 février 2016 par Marie-Noelle Imbart @MarieNoImbart
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Dlocoucoune-Laurette Mas-Camille « Dlo-Coucoune « , un recueil de contes assez épicés de Laurette Mas-Camille à découvrir…

Voici une idée Cadeau plus qu’originale. Laurette Mas Camille, auteure de ce recueil de contes « très épicés » vous invite à découvrir « Dlo-Coucoune ou éloge au désir amoureux ». En ce week-end de Saint-Valentin, tout un programme pour sucrer votre imaginaire.
Le recueil est disponible dans les libraires de Martinique et Guadeloupe mais, vous pouvez la contacter en MP (FACEBOOK) pour passer commande. Voici un court extrait que l’auteure, Laurette Mas- Camille partageait sur le mur de son Facebook.

Bref, monsieur – bien que grand zailleur devant le Créateur – et madame étaient heureux, mariés depuis assez de temps pour s’aimer encore, coulant des jours heureux, d’autant plus que madame attendait, pour la première fois, un heureux événement : elle avait réussi un concours de la fonction publique et devait être titularisée sous peu. Elle avait acheté deux beaux cierges sur les conseils de son mari, qui était aussi catholique, rappelez-vous en, pour les brûler devant la statue de la Vierge, en guise de remerciements. Il faut être honnête en disant qu’aussitôt que Marcus avait vu les cierges, il lui était venu des idées salaces et ses yeux avaient brillés. Marie-Raphaëlle, dont les grands yeux noirs papillonnaient vivement, avait protesté d’une voix molle, parce qu’elle n’avait jamais fait ça, en disant un non qui signifiait oui, et avait à peine commencé à se déshabiller que son mari lui avait déjà arraché sa culotte et renversée sur la table de la salle à manger. Dois-je vous faire un dessin ? Les petits cris qui s’échappaient de la bouche de madame laissaient bien entendre à quel point les deux cierges jouaient bien leur rôle, tour à tour et simultanément aussi. Marcus savait y faire, il avait d’abord longuement humecté le sexe de sa femme en claquant la langue et en se léchant aussi les babines, car au point où il en était, plongé entre ses cuisses pendant une demi-heure, ce n’était plus une bouche qu’il avait, mais bien des babines…
Pas étonnant qu’en essayant d’allumer les cierges devant la Vierge l’après-midi, elle dut s’y reprendre à trois fois car les mèches étaient humides et eurent du mal à prendre.

Bonne Saint -Valentin les ami-es! Avec ou sans chocolat !

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