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Le théorème de l'uppercut est mon quatrième roman policier. Les trois premiers : La Conjuration des masques (2012), Retour aux sources (2014) et Souvenirs envolés (2014), parus chez Corsaire éditions, mettent en scène une policière une policière d'élite, la commissaire Clémence Malvoisin et son équipe.
J'adore cette héroïne, à tel point qu'un quatrième volet de ses aventures sera publié en mai prochain, toujours chez Corsaire éditions.
Mais Clémence avait sans doute besoin d'une pause et moi aussi. D'un commun accord, nous avons décidé que je consacrerai un autre roman à des héros plus ordinaires. C'est ainsi qu'est né " Le théorème de l'uppercut ".
Gislain, un prof de math, est muté dans un lycée de banlieue. Il découvre un monde complexe où les origines et les cultures se mélangent. Parmi ses élèves, certains règnent sur la pègre des cités environnantes. D'autres subissent leur loi. Certains en meurent. Gislain rencontre aussi l'amour en la personne d'une collègue, prof de philo, autant mixer aussi les disciplines. Des épreuves les attendent. Et pour un roman policier, il faut aussi des flics. Un commissaire près de la retraite et son adjoint, un commandant qui ne lui ressemble en rien, enquêtent. Belle distribution et beau panier de crabes.
Finalement, mon infidélité à Clémence m'a permis de découvrir de nouveaux personnages auxquels je me suis attaché. Au point de les accompagner dans d'autres aventures ?
Pourquoi pas, j'attends le verdict des lecteurs.