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The Banging Souls au Young Guts Festival à Namur le 27 février 2016

Publié le 27 février 2016 par Concerts-Review

The Banging Souls au Young Guts Festival à Namur le 27 février 2016

The Banging Souls au Young Guts Festival à Namur le 27 février 2016

THE BANGING SOULS - MAISON DE LA CULTURE, NAMUR (BEL) - 2016.02.27
Line Up :
Pierre ABRAS : Banging Drums, guest passes - Tom's earplugs.
Gaëlle Mievis : Stratosferic Vocals, guitar, lost glasses - forgotten mobile.
Ludwig PINCHART : Killler guitars, headbanging Soul - camera tripod collector.
SETLIST :
01. A CHANGE.
02. BACK TO ROOTS.
03. THE CALL.
04.WHISPER.
05. QUEEN OF THE MODERN DAY.
06. BLACK BETTY.
07. FIGHTERS OF LOVE.
08. RACE.
La Maison de la Culture de Namur... Tiens, c'est la que je suis monté sur scène pour la première fois en tant que musicien, c'était en 1994. Et ce soir, c'est également la première fois mais pour The Banging Souls, le power trio namurois, invité pour un set de 45 minutes dans le cadre de la seconde édition du Young Guts Festival dont la tête d'affiche est Roscoe.
A lire l'intitulé de la présente revue, vous aurez compris pour qui je me déplace, non pas vipère au poing (le premier qui m'appelle Folcoche se prend une baffe) mais caméra au poing et sac au dos. Je tiens de source sûre (sur la gauche de la scène) que des ajustements ont été faits au niveau de l'habillage de certains opus (dont le cours fluctue sur les marchés ...) Je suis donc impatient d'entendre ça. Installation du matériel et puis soundcheck. Ca commence avec du retard mais c'est nécessaire si on veut que dans une heure tout se passe bien. L'important c'est la rose comme disait Bécaud, c'est la rosse disait le jockey et mon pote aussi quand il a appris que sa femme le trompait ! Je fais grise mine, je n'aime " pô çà du tout ", la guitare de Ludwig sonne médium à mort, les cymbales de la batterie de Pierre manquent de brillance et la voix de Gaëlle est sous mixée, même après avoir corrigé un peu dans la fréquence des 250 qui la gène d'habitude (je cite).
Petit conciliabule avec Peter le mixeur qui opine du chef (no comments please) et qui, dans la foulée, promet de corriger, 45 minutes à patienter. Bon, j'irais bien refaire un tour du côté de chez...Pizza Hut ! Où j'espère bien ne pas retrouver dans mon assiette, les fameuses Swan, celles-là même dont Marcel Proust nous a parlé en long et en large. En rue, je croise les " die-hard fans ", celles et ceux qui trustent les premiers rangs, la bande des " G " Cécile " photographe " et Michèle " photographe passionnée de dates " accompagnées de leurs amis. Salutations et à tout de suite.
Il est près de 20 h 15 lorsque les premiers accords de l'intro relookée de " A Change " retentissent dans la salle remplie aux trois-quarts alors que certains, eux, sont déjà carrément pleins ! En homme de parole, Peter a corrigé la façade et ça sonne bien, très bien même. " Pas assez fort !!!" hurle une féministe en mal de scènes de ménage. Encore une qui pense que si on ne sort pas d'un concert de rock avec les oreilles qui sifflent c'est que ce n'est pas bon. " Back To The Roots " j'aime mais c'est le suivant qui me porte, me supporte, me transporte, me colporte : " Whisper " et son thème répétitif, quasi obsessionnel, à la " Kashmir ", oriental, et cette voix! J'adoooooooooore !
Ils sont en forme olympique tous les trois qui bouffent la lumière et distillent leur art sous nos yeux ébahis ! " Tiens, il n'y a pas de basse et on en entend une ! " me fait remarquer une spectatrice attentive. Sorry Ludwig, j'ai dévoilé le secret de la combinaison d'amplis.
Bon, ils vont la fermer leur grande G****e de cons les deux nains bouffis là derrière. Pendant tout le concert ce couple de stères (1 mètre x 1 mètre x 1 mètre) n'a pas arrêté une seconde de faire baver son magasin à conneries labiales ! Pas un applaudissement , non, mais des futilités, là par contre. Qu'est ce que des bûches pareilles viennent faire là ? C'est à la fête de bois qu'ils devraient aller débiter leurs âneries. Et dire que la fessée est désormais condamnable, pfff !
Vient ensuite une " Queen of the Modern Day " bénéficiant elle aussi d'un nouvel habillage qui lui confère une dimension supérieure. Et juste derrière, pour t'achever un " Black Betty " hyper, sensuel, encore plus sexy qu'avant, pour ma part, je préfère cette nouvelle interprétation. " Fighters of Love " et " Race " asseyent définitivement The Banging Souls comme groupe en pleine ascension, un groupe à suivre, un trio de potes et un fan caméraman amateur...
Merci à Michèle Geerts pour le partage de photos.
Mitch " ZoSo " Duterck


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