Poche : 377 pages
Editeur : J’ai Lu
Date de sortie : 24 février 2016
Collection : Aventures&Passions
Langue : Français
ISBN-10 : 2290122114
ISBN-13: 978-2290122112
Prix : 7,40€
Disponible en liseuse : ouiRésumé : Christian, duc de Mercie, combattait dans l’armée de Wellington quand il est tombé aux mains de l’ennemi. Enfin libéré, il apprend la mort de son épouse et de son fils. C’est donc un homme brisé qui, de retour cri Angleterre, reçoit la visite de lady Gillian venue lui annoncer que sa fille Lucille dépérit, seule dans son domaine de Severn. Consciente que Christian n’est pas capable pour l’heure d’assumer ses responsabilités de père et de châtelain, lady Gillian lui propose de l’aider. Elle aussi doit oublier ses propres démons et elle espère trouver l’apaisement à Severn.
Lire un extrait
Mon avis :
Le Captif est le 1er tome d’une trilogie de Grace Burrowes traitant de comment l’amour peut guérir un cœur meurtri.
Ici, on suit l’histoire du Duc de Mercie qui a été capturé et torturé à petit feu par les Français pendant 3 ans. La seule chose qui l’a fait tenir, c’est le désir de vengeance envers ses bourreaux dont un certain Girard. C’est donc un homme meurtri, affaibli et le corps affublé d’innombrables cicatrices qui rejoint l’Angleterre une fois libéré. Désormais veuf et ayant perdu son héritier, il apprend que sa fille Lucille est muette depuis ces tragédies. Mais comment un homme qui a du mal à se remettre de ses blessures autant psychologiques que morales pourrait-il s’occuper d’un enfant ? La comtesse de Grendale, veuve depuis peu et cousine de feu madame la duchesse, va lui venir en aide.
Un veuf, une veuve… 1 seule possibilité !
S’il y a bien une chose que je reproche à ce roman, c’est qu’à aucun moment on ne doute de l’issue de cette « entente ». Alors oui vous allez me dire que c’est le cas de toute romance historique mais c’est amené de façon tellement évidente que je n’ai pas eu ce petit frisson d’attente avant le 1er baiser que j’aime ressentir dans la romance historique. Cela est arrivé comme un cheveu sur la soupe. En fait, soit je ne connais pas les mœurs de l’époque, soit je suis vieux jeu, mais embrasser un homme que l’on a vu de rares fois sur la bouche – aussi subtil le baiser soit-il – m’a paru incongru, de même que prendre avec les dents un quartier d’orange tendu par une « inconnue ». Et là, je me suis braquée et je n’ai alors plus apprécié ma lecture.
L’évolution d’un homme meurtri
Dommage car cette histoire a du potentiel. L’auteure a très bien abordé le thème de la torture et ses effets psychologiques sur un homme au moment des faits et après. L’évolution de Christian vers la « guérison » aussi bien physique que morale est assez bien décrite. On se prend d’affection pour lui et ça c’est un pari réussi pour l’auteure du côté du héros masculin. Je n’ai pas ressenti la même chose pour l’héroïne Gillian, qui est à plaindre pourtant au vu des huit années d’un mariage calamiteux. Mais c’est grâce à elle et à leurs chamailleries qu’il reprend goût à la vie. Mais cela suffira-t-il à annihiler son désir de vengeance ?
Conclusion :
Je n’ai pas été séduite par cette histoire pourtant au fort potentiel. Cela n’enlève en rien au talent de l’auteure qui a su donner un visage humain à un homme détruit psychologiquement.
Poche : 377 pages
Editeur : J’ai Lu
Date de sortie : 24 février 2016
Collection : Aventures&Passions
Langue : Français
ISBN-10 : 2290122114
ISBN-13: 978-2290122112
Prix : 7,40€
Disponible en liseuse : ouiRésumé : Christian, duc de Mercie, combattait dans l’armée de Wellington quand il est tombé aux mains de l’ennemi. Enfin libéré, il apprend la mort de son épouse et de son fils. C’est donc un homme brisé qui, de retour cri Angleterre, reçoit la visite de lady Gillian venue lui annoncer que sa fille Lucille dépérit, seule dans son domaine de Severn. Consciente que Christian n’est pas capable pour l’heure d’assumer ses responsabilités de père et de châtelain, lady Gillian lui propose de l’aider. Elle aussi doit oublier ses propres démons et elle espère trouver l’apaisement à Severn.
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Mon avis :
Le Captif est le 1er tome d’une trilogie de Grace Burrowes traitant de comment l’amour peut guérir un cœur meurtri.
Ici, on suit l’histoire du Duc de Mercie qui a été capturé et torturé à petit feu par les Français pendant 3 ans. La seule chose qui l’a fait tenir, c’est le désir de vengeance envers ses bourreaux dont un certain Girard. C’est donc un homme meurtri, affaibli et le corps affublé d’innombrables cicatrices qui rejoint l’Angleterre une fois libéré. Désormais veuf et ayant perdu son héritier, il apprend que sa fille Lucille est muette depuis ces tragédies. Mais comment un homme qui a du mal à se remettre de ses blessures autant psychologiques que morales pourrait-il s’occuper d’un enfant ? La comtesse de Grendale, veuve depuis peu et cousine de feu madame la duchesse, va lui venir en aide.
Un veuf, une veuve… 1 seule possibilité !
S’il y a bien une chose que je reproche à ce roman, c’est qu’à aucun moment on ne doute de l’issue de cette « entente ». Alors oui vous allez me dire que c’est le cas de toute romance historique mais c’est amené de façon tellement évidente que je n’ai pas eu ce petit frisson d’attente avant le 1er baiser que j’aime ressentir dans la romance historique. Cela est arrivé comme un cheveu sur la soupe. En fait, soit je ne connais pas les mœurs de l’époque, soit je suis vieux jeu, mais embrasser un homme que l’on a vu de rares fois sur la bouche – aussi subtil le baiser soit-il – m’a paru incongru, de même que prendre avec les dents un quartier d’orange tendu par une « inconnue ». Et là, je me suis braquée et je n’ai alors plus apprécié ma lecture.
L’évolution d’un homme meurtri
Dommage car cette histoire a du potentiel. L’auteure a très bien abordé le thème de la torture et ses effets psychologiques sur un homme au moment des faits et après. L’évolution de Christian vers la « guérison » aussi bien physique que morale est assez bien décrite. On se prend d’affection pour lui et ça c’est un pari réussi pour l’auteure du côté du héros masculin. Je n’ai pas ressenti la même chose pour l’héroïne Gillian, qui est à plaindre pourtant au vu des huit années d’un mariage calamiteux. Mais c’est grâce à elle et à leurs chamailleries qu’il reprend goût à la vie. Mais cela suffira-t-il à annihiler son désir de vengeance ?
Conclusion :
Je n’ai pas été séduite par cette histoire pourtant au fort potentiel. Cela n’enlève en rien au talent de l’auteure qui a su donner un visage humain à un homme détruit psychologiquement.