Magazine Culture
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Une lecture courte et prenante d’entrée de jeu, Stanislas Petrosky nous a concocté un roman noir totalement différent de son premier né.
Et tant mieux me direz-vous, avec le prodige qu’est Ravensbruck mon amour il fallait totalement changer de direction, aller loin très loin et c’est exactement le cas.
Isabelle est confrontée dans son enfance aux violences conjugales paternelles, sa mère sert régulièrement de punching ball, ça laisse des traces mais c’est une battante.
Malgré sa répulsion des hommes, la jeune femme va tomber amoureuse.
Après des années de pur bonheur fusionnel, l’amour de sa vie va disparaitre lors d’une sortie planche à voile.
Seulement voilà, la mer ne semble pas pressée de rendre le corps, son mari est-il vraiment mort ou s’agit-il d’une disparition douteuse voire volontaire ?
Avec L’amante d’Etretat vous allez connaître la douleur, la vraie, l’amputaion d’une partie de soi, de sa moitié.
Celle qui vous tord les tripes, vous les arrache au point d’avoir envie de tout casser.
L’auteur a su capter une intensité incroyable face au quotidien de tout un chacun, de la vie avec sa violence, ses épreuves, ses drames.
Nous lecteurs, sommes tous à la recherche du carton, du coup derrière la tête ou encore du placage, je peux vous garantir le tout à la fois assurément.
Il n’y a même pas à réfléchir, c’est une lecture courte et passionnante qui vous coûtera huit euros, on clique sur sur le lien et on fonce !!!
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