Dans l’aventure initiée par Jean d’Artigues, (cf. le billet du management de février), toutes les contraintes sont amplifiées, je dirai même démultipliées, par le contexte hostile d’une maladie invalidante évolutive.
Piloter ce projet révèle toute l’agilité du leader. Il privilégie la souplesse pour laisser place à la créativité et la simplicité tout en respectant les contraintes (ressources humaines, budgétaires, légales, environnementales, délais). Le projet avance : bateau trouvé, équipe médicale constituée.
De son fauteuil, l’agilité de Jean accroît :
- la confiance de toute son équipe en sa capacité à réussir ce projet ambitieux,
- la valeur ajoutée de chacun au service de cette aventure pour jouer collectif de manière puissante,
- la relation privilégiée, particulière, entretenue avec chacun(e) respectée par tous.
Ce qui facilite :
- l’organisation claire pour tous de qui fait quoi,
- l’expression simple et directe de ses besoins,
- le choix de moments clefs pour partager ses réflexions avec le groupe.
Ainsi sa vision s’élargit, s’affine et il prend des décisions acceptées et mises en œuvre.
C’est beau l’agilité !