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En attendant Bojangles d'Olivier Bourdeaut

Publié le 06 avril 2016 par Musy
En attendant Bojangles d'Olivier Bourdeaut

Bojangles Bourdeaut Finitude

Le livre :

Quand ils ont besoin de danser, ils mettent la musique de " Mr bojangles " de Nina Simone. "Ils", ce sont les parents de l'écrivain qui s'aiment à la folie et vivent dans un monde sans limites, avec fantaisie et liberté. L'enfant participe à cette vie hors norme mais bientôt une poussière se met dans le rouage de leur bonheur familial...

Autour du livre :

J'ai découvert ce livre à la bibliothèque, dans le cadre du suivi de l'opération " Premiers romans ". On parle beaucoup de ce livre actuellement dans les meilleures ventes de livres.

" En attendant Bojangles, paru en chez Finitude, est récompensé du prix France Culture-Télérama 2016, du grand prix RTL-Lire 2016 et du prix Roman France Télévisions2016." (Wikipedia)

Un livre que j'ai adoré pour son style magnifique, son histoire bouleversante et la magie tendre qui se dégagent de cette famille hors du commun.

Je sens que je vais beaucoup offrir ce livre à mon entourage !

Olivier Bourdeaut est un écrivain français né en 1980. " En attendant Bojangles " est son premier roman.

Un livre à lire en écho à " Harold et Maude " d'Higgins, une histoire d'amour hors du commun, pleine de fantaisie et d'amour de la vie.

Les citations : " Je n'ai jamais bien compris pourquoi, mais mon père n'appelait jamais ma mère plus de deux jours de suite par le même prénom. Même si certains prénoms la lassaient plus vite que d'autres, ma mère aimait beaucoup cette habitude et, chaque matin dans la cuisine, je la voyais observer mon père, le suivre d'un regard rieur, le nez dans son bol, ou le menton dans les mains, en attendant le verdict. " " Ma mère vouvoyait également la demoiselle de Numidie, cet oiseau élégant et étonnant qui vivait dans notre appartement, et promenait en ondulant son long cou noir, ses houpettes blanches et ses yeux rouge violent, depuis que mes parents l'avaient ramenée d'un voyage je ne sais où, de leur vie d'avant. Nous l'appelions " Mademoiselle Superfétatoire " car elle ne servait à rien, sauf à crier très fort sans raison, faire des pyramides rondes sur le parquet, ou à venir me réveiller la nuit en tapant à la porte de ma chambre de son bec orange et vert olive. "

Marjolaine


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