L’intrigue n’est pas prenante au point de ne pas réussir à
lever le nez du livre, le style littéraire est à la hauteur d’un polar, certes,
mais les américains disent-ils vraiment OK toutes les quatre phrases ?Donc, bof, ça se laisse lire mais sans extase.Sans doute cela passerait mieux dans un scénario de film,
comme ce fut le cas pour « Ne le dis à personne », du même auteur,
porté à l’écran par Guillaume Canet. SANS LAISSER D’ADRESSE, de Harlan COBEN