Chronique de Kloliane
⭐ Celle qui te rendra heureux de Theresa Romain
Nombre de pages : 375 pagesÉditeur : J’ai luDate de sortie : 6 avril 2016Collection : J’ai lu, aventures et passionsLangue : FrançaisISBN-10:2290126861ISBN-13:978-2290126868Prix Éditeur : 7,40 Disponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Henry Middlebrook revient meurtri de la guerre, le bras droit paralysé. Un drame, pour cet artiste qui rêvait de peindre la beauté du monde. Afin de reconquérir sa place au sein de la haute société, il mise sur une épouse influente qui saura l’imposer. Lady Caroline Stratton semble toute désignée, mais comment damer le pion à ses nombreux prétendants quand on ne peut ni danser ni écrire une lettre galante ? Henry va demander de l’aide à Frances, la cousine de Caroline et aussi sa dame de compagnie. C’est une jeune veuve futée, qui cache derrière sa discrétion de bon aloi un tempérament de feu. Lorsqu’il reçoit une lettre passionnée portant le sceau des Stratton et signée « Votre amie », Henry exulte, persuadé que la belle Caroline a succombé à son charme. Et c’est là que les ennuis commencent…
Mon Avis :
Après avoir suivie les tribulations d’une célèbre veuve londonienne dans le XXIème siècle, que je me laisse déjà emporter par les mésaventures d’une autre héroïne du début du XIXème siècle, à la fin des guerres napoléoniennes. Après une terrible bataille, Henry Middlebrook revient auprès de sa famille, paralysé du bras droit. Ne voulant pas être pris en pitié, il a une soif de reconnaissance auprès d’une société londonienne bien différente de celle qu’il a connu avant son départ. Afin d’y accéder, il se met en tête de conquérir Lady Shatton, avec l’aide de sa dame de compagnie, Mme Frances Whittier. Entre échanges épistolaires, secrets et mensonges, une jolie romance épicée d’érotisme va se nouer au fil des pages.
Je vous avoue qu’à la lecture du résumé, je me suis attendue à une romance compliquée avec un triangle amoureux et des choix difficiles à faire. Mais il s’avère que non. La trame est bien plus simple et les interactions amoureuses se mettent très vite en place. Harry nous est présenté comme blessé dans son orgueil d’homme et d’artiste. Il ne veut pas être le sujet de moqueries ou de pitié au sein de la société. C’est un homme sentimental qui nous touche en voulant surpasser son handicap et par sa contemplation du monde qu’il l’entoure en nous déclinant ses différences nuances de couleurs. Quant à Frances, c’est une jeune veuve qui est connue pour sa grande mémoire et ses bons conseils. Derrière son apparence sérieuse, se cache une jeune femme passionnée prête à tout sacrifier pour celui qu’elle aime. La romance entre ces deux personnages est assez prévisible et l’intrigue des lettres envoyées avec confusion sur les expéditeurs a été déjà fait de nombreuses fois, mais on se laisse tout de même embarquer par l’amour entre ces deux êtres, vivant chacun avec leurs “cicatrices” et savourer leurs tendres étreintes.
La plume agréable de l’auteur sait nous faire ressentir les sentiments des divers personnages et d’avoir une totale empathie pour Henry (j’avais vraiment envie de le rassurer et qu’il sache qu’une femme pouvait l’aimer tel qu’il était). J’ai vraiment apprécié le caractère passionné de Frances qui sait, dans certaines occasions, prendre les devants. Et il est très agréable de voir cela surtout pour la période où se déroule le roman. Si je devais résumer ce livre à la façon de notre cher artiste Henry, je dirais: D’une douce amitié ensoleillée, nous contemplons la teinte rosée de la romance, pour enfin découvrir une passion rouge ardente. Un joli tableau que je vous laisse découvrir à votre tour.
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Chronique de Kloliane
⭐ Celle qui te rendra heureux de Theresa Romain
Nombre de pages : 375 pagesÉditeur : J’ai luDate de sortie : 6 avril 2016Collection : J’ai lu, aventures et passionsLangue : FrançaisISBN-10:2290126861ISBN-13:978-2290126868Prix Éditeur : 7,40 Disponible sur Liseuse : Oui
Son résumé :
Henry Middlebrook revient meurtri de la guerre, le bras droit paralysé. Un drame, pour cet artiste qui rêvait de peindre la beauté du monde. Afin de reconquérir sa place au sein de la haute société, il mise sur une épouse influente qui saura l’imposer. Lady Caroline Stratton semble toute désignée, mais comment damer le pion à ses nombreux prétendants quand on ne peut ni danser ni écrire une lettre galante ? Henry va demander de l’aide à Frances, la cousine de Caroline et aussi sa dame de compagnie. C’est une jeune veuve futée, qui cache derrière sa discrétion de bon aloi un tempérament de feu. Lorsqu’il reçoit une lettre passionnée portant le sceau des Stratton et signée « Votre amie », Henry exulte, persuadé que la belle Caroline a succombé à son charme. Et c’est là que les ennuis commencent…
Mon Avis :
Après avoir suivie les tribulations d’une célèbre veuve londonienne dans le XXIème siècle, que je me laisse déjà emporter par les mésaventures d’une autre héroïne du début du XIXème siècle, à la fin des guerres napoléoniennes. Après une terrible bataille, Henry Middlebrook revient auprès de sa famille, paralysé du bras droit. Ne voulant pas être pris en pitié, il a une soif de reconnaissance auprès d’une société londonienne bien différente de celle qu’il a connu avant son départ. Afin d’y accéder, il se met en tête de conquérir Lady Shatton, avec l’aide de sa dame de compagnie, Mme Frances Whittier. Entre échanges épistolaires, secrets et mensonges, une jolie romance épicée d’érotisme va se nouer au fil des pages.
Je vous avoue qu’à la lecture du résumé, je me suis attendue à une romance compliquée avec un triangle amoureux et des choix difficiles à faire. Mais il s’avère que non. La trame est bien plus simple et les interactions amoureuses se mettent très vite en place. Harry nous est présenté comme blessé dans son orgueil d’homme et d’artiste. Il ne veut pas être le sujet de moqueries ou de pitié au sein de la société. C’est un homme sentimental qui nous touche en voulant surpasser son handicap et par sa contemplation du monde qu’il l’entoure en nous déclinant ses différences nuances de couleurs. Quant à Frances, c’est une jeune veuve qui est connue pour sa grande mémoire et ses bons conseils. Derrière son apparence sérieuse, se cache une jeune femme passionnée prête à tout sacrifier pour celui qu’elle aime. La romance entre ces deux personnages est assez prévisible et l’intrigue des lettres envoyées avec confusion sur les expéditeurs a été déjà fait de nombreuses fois, mais on se laisse tout de même embarquer par l’amour entre ces deux êtres, vivant chacun avec leurs “cicatrices” et savourer leurs tendres étreintes.
La plume agréable de l’auteur sait nous faire ressentir les sentiments des divers personnages et d’avoir une totale empathie pour Henry (j’avais vraiment envie de le rassurer et qu’il sache qu’une femme pouvait l’aimer tel qu’il était). J’ai vraiment apprécié le caractère passionné de Frances qui sait, dans certaines occasions, prendre les devants. Et il est très agréable de voir cela surtout pour la période où se déroule le roman. Si je devais résumer ce livre à la façon de notre cher artiste Henry, je dirais: D’une douce amitié ensoleillée, nous contemplons la teinte rosée de la romance, pour enfin découvrir une passion rouge ardente. Un joli tableau que je vous laisse découvrir à votre tour.