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The Young World de Chris Weitz

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

the young world de chris weitzPoche : 384 pages
Editeur : Livre de Poche Jeunesse
Date de sortie :   9 mars 2016
Collection : Livre de Poche Jeunesse
Langue : Français
ISBN-10 : 2013193106
ISBN-13: 978-2013193108
Prix : 6,90€
Disponible en liseuse : oui

Résumé : New York, XXIe siècle. Un virus a anéanti la population des États-Unis, à l’exception des adolescents, qui ont vu leur avenir se désintégrer sous leurs yeux. Plus d’électricité, plus d’eau courante, plus de transports, plus d’Internet : les jeunes sont livrés à eux-mêmes dans la ville qui ne dort jamais. Ils se partagent alors le territoire et forment des tribus qui coexistent plus ou moins pacifiquement. Jefferson, le leader des Washington Square, tente d’organiser la survie des siens avec l’aide de Donna, dont il est secrètement amoureux. Privés de repères et lassés d’attendre la mort, ils partent à travers Manhattan pour tenter de retrouver l’origine du virus qui a décimé le continent.

Mon avis :

Premier tome d’une trilogie, The Young World est une dystopie narrant un monde post-apocalyptique où seuls les adolescents ont survécu à un virus grâce à certaines hormones dont les adultes et les enfants sont dépourvus.
Je dois vous avouer que je n’avais pas lu de dystopie depuis la saga Divergente et ce qui m’a décidée à lire cette histoire est en fait son auteur. Et oui, un nom suffit parfois. Je ne connaissais pas Chris Weitz en tant qu’auteur mais en tant que réalisateur (Twilight 2 pour ne citer que lui) et scénariste (Cendrillon, le film de 2015). Je dois dire que je n’ai pas du tout été déçue.

On s’y croirait !

On sent la pâte du réalisateur dans l’écriture comme s’il avait déjà en tête l’adaptation au cinéma de son roman. Tout est très détaillé, aussi bien les décors que les personnages et leurs tempéraments.
Le livre est truffé de clins d’œil faisant référence à Avant, terme utilisé pour parler de l’ancien temps, celui où la technologie avait tellement pris le dessus qu’on ne souciait finalement plus tellement des uns et des autres.
Chris Weitz s’amuse à insérer ici et là des chansons, des films, tourne en dérision la télé-réalité et ce qui fait tourner notre société d’aujourd’hui à savoir les réseaux sociaux. Grâce à cela, il arrive sans peine à nous faire entrer dans son récit, à nous mettre à la place de ces héros (même si on n’est pas, plus des ados). On en vient même parfois à se remettre en question, à apprécier les petites joies du quotidien comme de savourer un bon café. Que ferions-nous à leur place sans électricité ni eau courante ?

La survie au cœur de l’intrigue

Les héros, parlons-en. Le récit débute dans un quartier de New-York, Madison Square, où des ados se sont regroupés et ont formé une communauté pour s’entraider et survivre. Alors certes, leur avenir est déjà tout tracé – la mort dans quelques années lors du passage à l’âge adulte – mais la survie est leur seul but. Le besoin de se nourrir va vite se faire ressentir et le besoin de se défendre aussi par les armes pour protéger ses biens. Et oui, la loi du plus fort est de rigueur et vous allez vite comprendre que l’on peut échanger un cochon contre un être humain!

La petite touche de romance

L’aventure commence véritablement quand un groupe constitué de Jefferson, Donna, Peter, Opaline et Brainbox va s’aventurer au-delà du périmètre de leur sanctuaire pour tenter de trouver un remède au virus. On alterne les points de vue de Jefferson et Donna, les deux principaux héros de l’histoire. Bien joué de la part de l’auteur pour réussir à se mettre à leur place que l’on soit une fille ou un garçon. Est-ce le but recherché ? Peut-être pas. C’est surtout que ces deux-là vont se chercher tout au long du roman. Et voilà la petite touche romance qui fait son entrée pour égayer le récit qui n’est pas des plus sympathiques pour nos héros. On se croirait parfois dans un épisode de The Walking Dead, les zombies en moins ! Leur parcours va être semé d’embûches, de rencontres très déplaisantes où tous ne vont pas s’en sortir indemnes.

Le petit bémol

Il en faut bien un. Bien que je n’ai rien à reprocher à l’histoire en elle-même, je n’ai pas ressenti le même engouement envers le couple principal formé par Donna et Jefferson que celui que j’ai éprouvé en lisant Divergente avec Tris et Quatre. Il m’a manqué ce petit frisson. Serait-ce parce que les auteurs masculins n’ont pas la même sensibilité que leurs homologues féminines ? En tant que femme, je pense que oui. Cela n’en reste pas moins une belle aventure que je vous incite à lire.

Conclusion :

Une dystopie qui vaut le détour ! Je ne me suis pas ennuyée une seule minute. Pas mal d’action, une petite touche de romance, un virus à combattre… tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment! J’ai hâte de lire la suite.

Presque Excellent

Acheter ce livre sur Amazon

Les Tomes Publiés

The Young World de Chris Weitz

Le tome 2 sorti le 6 avril 2016

the young world de chris weitzPoche : 384 pages
Editeur : Livre de Poche Jeunesse
Date de sortie :   9 mars 2016
Collection : Livre de Poche Jeunesse
Langue : Français
ISBN-10 : 2013193106
ISBN-13: 978-2013193108
Prix : 6,90€
Disponible en liseuse : oui

Résumé : New York, XXIe siècle. Un virus a anéanti la population des États-Unis, à l’exception des adolescents, qui ont vu leur avenir se désintégrer sous leurs yeux. Plus d’électricité, plus d’eau courante, plus de transports, plus d’Internet : les jeunes sont livrés à eux-mêmes dans la ville qui ne dort jamais. Ils se partagent alors le territoire et forment des tribus qui coexistent plus ou moins pacifiquement. Jefferson, le leader des Washington Square, tente d’organiser la survie des siens avec l’aide de Donna, dont il est secrètement amoureux. Privés de repères et lassés d’attendre la mort, ils partent à travers Manhattan pour tenter de retrouver l’origine du virus qui a décimé le continent.

Mon avis :

Premier tome d’une trilogie, The Young World est une dystopie narrant un monde post-apocalyptique où seuls les adolescents ont survécu à un virus grâce à certaines hormones dont les adultes et les enfants sont dépourvus.
Je dois vous avouer que je n’avais pas lu de dystopie depuis la saga Divergente et ce qui m’a décidée à lire cette histoire est en fait son auteur. Et oui, un nom suffit parfois. Je ne connaissais pas Chris Weitz en tant qu’auteur mais en tant que réalisateur (Twilight 2 pour ne citer que lui) et scénariste (Cendrillon, le film de 2015). Je dois dire que je n’ai pas du tout été déçue.

On s’y croirait !

On sent la pâte du réalisateur dans l’écriture comme s’il avait déjà en tête l’adaptation au cinéma de son roman. Tout est très détaillé, aussi bien les décors que les personnages et leurs tempéraments.
Le livre est truffé de clins d’œil faisant référence à Avant, terme utilisé pour parler de l’ancien temps, celui où la technologie avait tellement pris le dessus qu’on ne souciait finalement plus tellement des uns et des autres.
Chris Weitz s’amuse à insérer ici et là des chansons, des films, tourne en dérision la télé-réalité et ce qui fait tourner notre société d’aujourd’hui à savoir les réseaux sociaux. Grâce à cela, il arrive sans peine à nous faire entrer dans son récit, à nous mettre à la place de ces héros (même si on n’est pas, plus des ados). On en vient même parfois à se remettre en question, à apprécier les petites joies du quotidien comme de savourer un bon café. Que ferions-nous à leur place sans électricité ni eau courante ?

La survie au cœur de l’intrigue

Les héros, parlons-en. Le récit débute dans un quartier de New-York, Madison Square, où des ados se sont regroupés et ont formé une communauté pour s’entraider et survivre. Alors certes, leur avenir est déjà tout tracé – la mort dans quelques années lors du passage à l’âge adulte – mais la survie est leur seul but. Le besoin de se nourrir va vite se faire ressentir et le besoin de se défendre aussi par les armes pour protéger ses biens. Et oui, la loi du plus fort est de rigueur et vous allez vite comprendre que l’on peut échanger un cochon contre un être humain!

La petite touche de romance

L’aventure commence véritablement quand un groupe constitué de Jefferson, Donna, Peter, Opaline et Brainbox va s’aventurer au-delà du périmètre de leur sanctuaire pour tenter de trouver un remède au virus. On alterne les points de vue de Jefferson et Donna, les deux principaux héros de l’histoire. Bien joué de la part de l’auteur pour réussir à se mettre à leur place que l’on soit une fille ou un garçon. Est-ce le but recherché ? Peut-être pas. C’est surtout que ces deux-là vont se chercher tout au long du roman. Et voilà la petite touche romance qui fait son entrée pour égayer le récit qui n’est pas des plus sympathiques pour nos héros. On se croirait parfois dans un épisode de The Walking Dead, les zombies en moins ! Leur parcours va être semé d’embûches, de rencontres très déplaisantes où tous ne vont pas s’en sortir indemnes.

Le petit bémol

Il en faut bien un. Bien que je n’ai rien à reprocher à l’histoire en elle-même, je n’ai pas ressenti le même engouement envers le couple principal formé par Donna et Jefferson que celui que j’ai éprouvé en lisant Divergente avec Tris et Quatre. Il m’a manqué ce petit frisson. Serait-ce parce que les auteurs masculins n’ont pas la même sensibilité que leurs homologues féminines ? En tant que femme, je pense que oui. Cela n’en reste pas moins une belle aventure que je vous incite à lire.

Conclusion :

Une dystopie qui vaut le détour ! Je ne me suis pas ennuyée une seule minute. Pas mal d’action, une petite touche de romance, un virus à combattre… tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment! J’ai hâte de lire la suite.

Presque Excellent

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