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Les initiateurs de l’art moderne

Publié le 17 mai 2016 par Jigece

Vincent van Gogh

1889, Vincent Van Gogh : Autoportrait à l'oreille bandée et à la pipe

Fils d’un pasteur néerlandais, neveu de son homonyme Vincent Van Gogh qui co-dirigeait la firme de négoce d’art international Goupil & Cie à La Haye, Vincent, comme son frère Théo, commença par suivre la tradition familiale en juillet 1869 en entrant en apprentissage chez Goupil & Cie. Il devait y rester plus de 5 ans, à La Haye, puis dans les filiales, à Bruxelles, Londres (juin 1873 à mai 1875), Paris (jusqu’à fin 1875), où il commenca à développer un dégoût pour le commerce de l’art. Il se mit alors à mener une vie de reclus et à lire intensément la Bible.
Il quitte son emploi et retourne chez ses parents à Etten en 1876, avant de retourner en Angleterre comme professeur dans un internat, puis prédicateur.
L’année suivante, il commence des études de théologie à Amsterdam, qu’il abandonne un an après, avant de partir pour le Borinage, en Belgique, comme prédicateur et évangéliste auprès des mineurs de charbon de cette région désolée. Son tempérament fougueux et ses opinions politiques et sociales avancées le font se heurter aux autorités de l’Eglise et Vincent abandonne sa vocation.

C’est seulement en août 1880 à l’âge de 27 ans, que Vincent décida de devenir peintre. Vincent Van Gogh est un peintre largement autodidacte. Il commence par copier des dessins, particulièrement des scènes de la vie paysanne de Jean-François Millet, auquel il voue une estime quasi religieuse. Ayant envisagé de rentrer à l’Ecole des Beaux-Arts de Bruxelles, il y passe l’hiver 1881, mais travaille de façon indépendante et quelquefois avec le peintre hollandais Anton Van Rappard jusqu’en avril.
Vincent n’ayant pas de moyens d’existence, c’est son frère Théo, qui travaille à la filiale parisienne de Goupil, qui le prend en charge comme il devait le faire régulièrement tout au long de la vie de Vincent.
Ses amis se détournèrent de Vincent lorsqu’il voulut se mettre en ménage puis épouser une mère célibataire, Sien Hoornik, qu’il avait engagée comme modèle. Il ne put dès lors compter que sur l’aide matérielle et morale de son frère Théo, et, après un bref séjour à Drenthe en septembre 1883, la solitude le pousse à retourner en décembre 1883 chez ses parents, désormais installés à Nuenen (dans le Brabant, près d’Eindhoven), deux ans après les avoir quittés.

Paris

A Nuenen, ses rapports avec sa famille s’améliorent. Vincent commence à y peindre ses premières œuvres autour du thème de la vie populaire, réalisant de nombreuses études de tisserands et de paysans, dans des tons sombres et lourds, comme la terre qu’ils labourent (Les mangeurs de pommes de terre, avril 1885).
Après le décès de son père en mars 1885, Vincent, cherchant à vivre de sa peinture, quitte Nuenen et la Hollande (il n’y reviendra jamais) en novembre 1885 pour Anvers. Mais le marché de l’art y étant en récession et l’originalité de sa technique heurtant les vues des professeurs de l’académie locale, il partira en mars 1886 retrouver son frère Théo à Paris.
Van Gogh allait s’adapter très vite à Paris, se liant d’amitié avec de nombreux impressionnistes, lesquels pratiquaient pourtant une peinture d’avant-garde bien différente de la sienne, allant même jusqu’à adopter, au moins provisoirement, certaines de leurs façons. Il y étudia dans l’atelier du peintre Fernand Cormon, dessinant sans relâche à partir de modèles et de plâtres. Mais faute d’y trouver ce qu’il cherchait, Vincent quitta l’atelier au bout de 3 mois pour travailler à nouveau seul. Il s’y fit toutefois de véritables amis : Emile Bernard, et Henri de Tououse-Lautrec qui lui fit découvrir la vie nocturne de Montmartre.
Van Gogh délaissa rapidement les « harmonies de gris » qu’il avait si longtemps étudiées pour une palette plus colorée, et se mit à peindre des scènes de rue et des vues de la ville.
Lorsque Van Gogh arrive à Paris en 1886, les Impressionnistes tiennent leur dernière exposition et commencent enfin à être acceptés. Déjà Georges Seurat et Paul Signac cherchent, avec le Divisionnisme, à créer un néo-impressionnisme plus scientifique. Van Gogh, s’intéressant particulièrement à leurs recherches basées sur la division du spectre de la lumière, reprit sa technique, étudiant l’impression optique laissée par de petites touches de couleurs primaires (le rouge, le bleu et le jaune) et complémentaires (le violet, l’orange et le vert).
Van Gogh fut aussi sensible au courant du Synthétisme de Gauguin, tendant vers une certaine abstraction et stylisation où les formes des objets sont obtenues à l’aide de zones colorées délimitées avec précision. Paris découvrait avec enthousiasme les estampes japonaises, et Van Gogh qui les collectionnait tenta également de saisir dans plusieurs toiles les principes qui leur étaient sous-jacents : stylisé du tracé, zones de couleur pure, beauté de la nature (Portrait du père Tanguy, 1887).
Ne pouvant se payer des modèles, Vincent peint ceux qui veulent bien poser pour lui, ou réalise des autoportraits (pas moins de 25 entre mars 1886 et février 1888).
La plupart des œuvres de cette époque ne portent pas l’empreinte typique de Van Gogh, comme s’il devait poursuivre ses recherches sans essayer d’exprimer ses propres visions et qu’il « n’arriverait à rien avant d’avoir travaillé sur au moins deux cents toiles« . Venu à Paris dans l’espoir d’être mieux connu des milieux artistiques, et de vendre ses toiles, Van Gogh dut, comme beaucoup de ses amis impressionnistes, exposer dans la vitrine de salles de café ou de magasins. Officiellement, Van Gogh ne vendit de son vivant, en tout et pour tout, que deux tableaux, et ce par l’intermédiaire de Théo.
Finalement, Van Gogh, fatigué, dépressif, souhaita quitter l’agitation de Paris, ses hivers rigoureux, pour le sud de la France où il emportait avec lui l’espoir de fonder une communauté d’artistes, un nouvel « Atelier du Midi« 

Arles

Lors de son séjour à Arles, de son arrivée le 20 février 1888, à son départ pour l’asile de Saint-Rémy le 8 mai 1889, Van Gogh allait exécuter quelque 200 toiles, plus d’une centaine de dessins, et écrire plus de 200 lettres.
Arles est à l’époque une ville importante de 23000 habitants, mais Vincent, qui s’y installe dans la « Maison Jaune« , ne s’y intégrera jamais véritablement : « les gens ici sont paresseux et insouciants », « Je ne vois nulle part ici la gaieté du sud dont parle tant Daudet, mais plutôt une désinvolture insipide et une négligence sordide« . Mais il n’avait rien à redire quant aux paysages qui prennent pour l’artiste des visions poétiques : « quelles compensations quand vient un jour sans vent, quelle intensité de couleurs, quelle pureté de l’air, quelle vibrante sérénité« .
Van Gogh travaille avec frénésie, peignant son nouvel univers avec une vivacité de couleurs et une gaieté sans précédent dans sa carrière, sans perdre de temps à la recherche de nouveaux motifs.
L’arrivée de Gauguin à Arles le 23 octobre 1888 devait encore accélérer la vie de Van Gogh, tout en contribuant à améliorer sa santé. Il était heureux, avant que les deux hommes ne s’opposent sur leur façon de travailler, et ce qu’il devait appeler, « la catastrophe« , dans la journée du 23 décembre, qui vit Van Gogh menacer Gauguin avec un rasoir, avant de se mutiler partiellement l’oreille droite. Conduit à l’hôpital de la ville, il se rétablit vite et regagna la maison jaune dès le 7 janvier 1889, se remettant à peindre (Autoportrait à l’oreille bandée).
Il devait retourner à l’hôpital début février, se plaignant d’entendre des voix. Des voisins envoyèrent une pétition pour que le peintre fut interné. Il entra le 8 mai 1889 à l’asile de Saint-Rémy.

Saint-Rémy

Une semaine après son entrée, Vincent fut autorisé à peindre, on lui trouva même une chambre faisant office d’atelier.
Il allait conserver durant tout son séjour à l’asile jusqu’en mai 1890, mises à part quelques périodes de dépression et ses « attaques », un esprit très imaginatif et créatif, peignant d’abord dans les jardins de l’asile une série de toiles impressionnistes comme Les iris. Puis il retrouve un style plus novateur, avec un graphisme plus fort, des couleurs plus vives, des lignes accentuées et des perspectives audacieuses, pour peindre les paysages de Provence dans des séries, sur les cyprès.
Vincent envoie régulièrement des toiles à Théo. Iris et Nuit étoilée seront exposées au 5ème Salon des Indépendants en septembre 1889, puis 10 de ses toiles au Salon de 1890, ainsi que 5 à l’Exposition annuelle des vingt à Bruxelles. La réaction très positive d’artistes comme Monet et Pissaro, ainsi que du critique Albert Aurier encouragèrent beaucoup Vincent et Théo. Vincent qui oscillait entre des périodes très productives et des moments de désespoir, en était venu à penser qu’il était parvenu à créer une oeuvre de valeur… avant de douter encore : « mon travail pendant ces dix ans se résume à de pitoyables études, des échecs« .
Après plusieurs « attaques », Van Gogh sentit qu’il lui fallait quitter l’asile. Le 16 mai, il partit pour Paris, où il ne resta que quelques jours chez son frère, avant de partir le 2O mai, ne supportant plus le bruit et l’agitation de la ville, pour Auvers où il se confia au Dr Gachet, l’ami des peintres.

Auvers-sur-Oise

Il commença très vite une série sur les maisons aux toits de chaume, les rues du village et son église. Décrivant son tableau L’Église, Van Gogh écrit : « c’est une fois de plus presque la même chose que les études que j’ai faites de la vieille tour et du cimetière de Nuenen, mais les couleurs sont probablement ici plus expressives et plus fortes« . Cette phrase montre que l’artiste perçoit son oeuvre dans sa totalité. Van Gogh aura toute sa courte vie de peintre traité les mêmes thèmes, cherchant toujours à progresser en faisant évoluer son style, ses couleurs.
Vincent fit le portrait du Dr Gachet, puis de sa fille, suivit de très près les moissons et peignit de nombreuses études sur ce thème, ne s’attachant qu’aux seuls paysages, sans présence humaine, dont les célèbres Champ de blé sous un ciel orageux et Champ de blé avec corbeaux.
Les circonstances exactes de son suicide le dimanche 27 juillet 1890 au soir restent mystérieuses. Il se tira une balle de revolver, réussit à se relever, mais ne décéda que le 29 juillet.
Pendant son bref séjour à Auvers, moins de deux mois, il avait peint 70 toiles témoignant de la force d’âme et de la détermination avec lesquelles l’artiste avait poursuivi son but pendant dix ans. En voici, en quelques toiles, le fascinant résultat :

1884, Vincent van Gogh : Charrette de boeuf
1884, Vincent van Gogh : Nature morte avec moulin à café, pipe et cruche
1884, Vincent van Gogh : Ramasseurs de bois dans la neige
1885, Vincent van Gogh : Les mangeurs de pommes-de-terres
1885, Vincent van Gogh : Populierenlaan bij Nuenen
1885, Vincent van Gogh : Portrait de Femme
1885-86, Vincent van Gogh : Crâne de squelette fumant une cigarette
1886, Vincent van Gogh : Le Moulin de blute-fin
1886, Vincent van Gogh : Les toits de Paris
1886, Vincent van Gogh : Trois paires de chaussures
1887, Vincent van Gogh : Autoportrait au chapeau de feutre
1887, Vincent van Gogh : Autoportrait, printemps 1887
1887, Vincent van Gogh : La Courtisane
1887, Vincent van Gogh : Paire de chaussures
1887-88, Vincent van Gogh : Statuette de plâtre d'un torse féminin
1888, Vincent van Gogh : Autoportrait dédié à Gauguin (sept 1888)
1888, Vincent van Gogh : Chaussures
1888, Vincent van Gogh : Coucher de soleil à Montmajour, juillet
1888, Vincent van Gogh : Eugène Boch
1888, Vincent van Gogh : Bateaux de pêche, Saintes-Maries
1888, Vincent van Gogh : Joseph Roulin (le postier)
1888, Vincent van Gogh : La chambre de Van Gogh à Arles
1888, Vincent van Gogh : La Mousmé
1888, Vincent van Gogh : Le fauteuil de Paul Gauguin
1888, Vincent van Gogh : Le pont Langlois
1888, Vincent van Gogh : Le semeur
1888, Vincent van Gogh : Le vieux moulin
1888, Vincent van Gogh : Le Zouave
1888, Vincent van Gogh : Les rochers avec chêne, juillet
1888, Vincent van Gogh : Nuit étoilée au-dessus du Rhône
1888, Vincent van Gogh : Le pont de Langlois à Arles avec blanchisseuses
1888, Vincent van Gogh : Tournesols
1889, Vincent van Gogh : Autoportrait à la palette
1889, Vincent van Gogh : Autoportrait à l'oreille bandée
1889, Vincent van Gogh : Autoportrait
1889, Vincent van Gogh : Chaise
1889, Vincent van Gogh : Iris
1889, Vincent van Gogh : La Berceuse (Portrait de madame Roulin)
1889, Vincent van Gogh : La nuit étoilée
1889, Vincent van Gogh : Oliviers avec les Alpilles en arrière-plan
1889, Vincent van Gogh : Paysage d'Arles
1889, Vincent van Gogh : Portrait de l'artiste sans barbe
1889, Vincent van Gogh : Les grands platanes
1889, Vincent van Gogh : Tournesols
1889, Vincent van Gogh : Champ de blé et cyprès
1889-90, Vincent van Gogh : La méridienne ou La sieste (d'après Millet)
1890, Vincent van Gogh : Amandier en fleurs
1890, Vincent van Gogh : Iris
1890, Vincent van Gogh : L'église d'Auvers-sur-Oise
1890, Vincent van Gogh : Maison blanche de nuit
1890, Vincent van Gogh : Nature morte, vase aux marguerites et coquelicots
1890, Vincent van Gogh : Portrait du Docteur Gachet
1890, Vincent van Gogh : Roses et Anémones, Auvers-sur-Oise, juin
1890, Vincent van Gogh : Vase de fleurs
1890, Vincent van Gogh : Champ de blé aux corbeaux (un de ses derniers tableaux)

Paul Gauguin

Texte à venir

1880_Paul Gauguin_Étude de nu (Suzanne cousant)
1883_Paul Gauguin_Tomates et une chope en étain sur une table
1886_Paul Gauguin_Nature morte avec profil de Laval
1887_Paul Gauguin_La Cueillette des Fruits
1887_Paul Gauguin_Martinique Landscape
1888_Paul Gauguin_Le gardien de porcs, Bretagne
1888_Paul Gauguin_Madame Roulin
1888_Paul Gauguin_Rochers sur la côte bretonne
1888_Vincent van Gogh_La fauteuil de Paul Gauguin
1889_Paul Gauguin_Autoportrait à l'auréole
1889_Paul Gauguin_Autoportrait au Christ jaune
1889_Paul Gauguin_Christ dans le jardin des oliviers (Autoportrait)
1889_Paul Gauguin_Christ jaune
1889_Paul Gauguin_Le jambon
1889_Paul Gauguin_Nature morte à l'éventail
1891_Paul Gauguin_Appartement de Gauguin rue Carcel
1891_Paul Gauguin_Femmes de Tahiti
1891_Paul Gauguin_I Raro te Oviri
1891_Paul Gauguin_La Vision après le sermon
1891_Paul Gauguin_Le repas (les bananes)
1891_Paul Gauguin_Les Parau Parau
1891_Paul Gauguin_Reverie ou La Femme à la robe rouge
1892-91_Paul Gauguin_Ia orana Maria
1892_Paul Gauguin_Arii Matamoe (La fin royale)
1892_Paul Gauguin_Nafea faa ipoipo (Quand te maries-tu), acheté par le Qatar 300 m$ en 2015
1892_Paul Gauguin_Où vas-tu
1892_Paul Gauguin_Paysage avec des paons
1892_Paul Gauguin_Spirit of the dead watching
1893_Paul Gauguin_Annah the Javanese
1893_Paul Gauguin_Autoportrait
1893_Paul Gauguin_Femme au fruit
1893_Paul Gauguin_Portrait de Louis Roy
1894_Paul Gauguin_Young Christian Girl
1896_Paul Gauguin_Nature morte avec pot de thé et fruits
1896_Paul Gauguin_Portrait Of A Young Woman, Vaite (Jeanne) Goupil
1897_Paul Gauguin_O Taiti (Nevermore)
1898-97_Paul Gauguin_D'où venons-nous Que sommes-nous Où allons-nous
1898_Paul Gauguin_Le cheval blanc
1899_Paul Gauguin_Les Seins aux fleurs rouges
1899_Paul Gauguin_Rupe Rupe (la Cueillette des fruits)
1902_Paul Gauguin_Cavaliers sur la plage (2)
1902_Paul Gauguin_Contes barbares
1902_Paul Gauguin_Fille à l'éventail
1902_Paul Gauguin_L'offrande

Claude Monet

Texte à venir

1869_Claude Monet_La grenouillère
1869_Claude Monet_La pie
1871_Claude Monet_La Tamise derrière Westminster
1874_Claude Monet_Le pont d'Argenteuil
1876_Claude Monet_Coin de jardin à Montgeron
1877_Claude Monet_La Gare Saint-Lazare, l'arrivée du train de Normandie
1877_Claude Monet_La Gare Saint-Lazare
1877_Monet_Le Pont de l’Europe, gare Saint-Lazare
1878_Claude Monet_La rue Montorgueil
1881_Claude Monet_Bouquet de tournesols
1883_Claude Monet_Le Manneport, Arche ouest d'Etretat
1884-83_Claude Monet_Villas à Bordighera
1884_Claude Monet_Bordighera
1885_Claude Monet_Les Falaises d’Étretat
1889_Claude Monet_Les Meules, effet de gelée blanche
1890_Claude Monet_Meules
1891-90_Claude Monet_Meule, soleil couchant
1891_Claude Monet_Meules, effet d'hiver
1891_Claude Monet_Peupliers sur les berges
1893_Claude Monet_Meule au coucher du soleil
1893_Monet_La Cathédrale de Rouen, le Portail et la tour d Albane, effet du matin
1893_Monet_La Cathédrale de Rouen,soleil levant
1894_Claude Monet_La cathédrale de Rouen, façade Ouest, soleil
1894_Claude Monet_La cathédrale de Rouen, le portail et la tour Saint-Romain, plein soleil, harmonie bleue et or
1898_Claude Monet_Matin sur la Seine
1899_Claude Monet_Le pont japonais
1900_Claude Monet_Bassin aux nymphéas, Les iris d'eau
1903_Claude Monet_Londres, le pont de Waterloo
1904_Claude Monet_Le Parlement de Londres, effet de brouillard
1904_Claude Monet_Le Parlement de Londres, reflets sur la Tamise
1904_Claude Monet_Le Parlement de Londres, trouée de soleil dans le brouillard
1907_Claude Monet_Nymphéas, Chicago
1919-16_Claude Monet_Nymphéas
1919-17_Claude Monet_Nymphéas
1919_Claude Monet_Le Bassin Aux Nymphéas
1920_Claude Monet_Nymphéas (Impression jaune)

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