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Vers l’infini et au delà !

Par Laurent Sauzet @laurent_sauzet

Il était une fois, dans un royaume fort fort lointain, une vieille jeune femme qui avait été invitée à écrire sur un blog.

Elle en avait été toute émue, pensez bien ! Avoir une reconnaissance de la plume, ça n'arrive pas tous les jours ! Elle avait donc décidé d'accepter cette gentille invitation et d'honorer de sa présence mensuelle ce lieu d'écriture qui ne lui appartenait pas. Cependant, lorsqu'elle fit la visite de son nouveau logis épistolaire, elle se rendit vite compte que les sujets ci-abordés n'étaient pas du tout exactement ceux qu'elle avait l'habitude d'écrire ou même de lire !

Qu'importe : une invitation reste une invitation et on se doit de l'honorer !

Aussi, j'ai le plaisir, car je suis cette momie jeune femme, de me présenter à vous : Sandrine dite " Miss Plume ", 40 ans (mais chut, je dis à tout le monde que je n'en ai que 39 par coquetterie...), auvergnate exilée, je ne pouvais qu'accepter de venir squatter un peu d'Auvergne par le biais de ce blog 100% terroir !

Et il est vrai qu'à la découverte de " Mon Dernier Métro ", j'ai aimé le style d'écriture de Laurent, notre Grand Gourou ici, mais j'ai aussi constaté rapidement mon incapacité à écrire un article sur Star Wars (je vous entends d'ici hurler " Quoi ?!! Ne pas aimer Star Wars ! Sacrilège ! Lapidation ! " ). Eh oui, je le confesse : je n'aurais jamais pu être la femme parfaite de Ted Mosby (avis aux initiés) ( ndlr : pour les noobs, regardez la série How I met Your Mother !) !

Car non, je n'aime pas ! Ou plutôt, Star Wars ne m'aime pas ! J'ai tenté pourtant, par deux fois, de regarder l'épisode IV, mais par deux fois, même résultat : je me suis mollement endormie devant la télé sur mon coussin avec, à mon réveil, ce besoin de rester digne et de nier l'évidence, bredouillant un mou " mouais, c'était pas mal... ", mais vilement trahie par ce léger petit filet de bave au coin de la lèvre, caractéristique du sommeil profond. Oui, je sais, je vous vends du rêve, là ! Laurent vous avait prévenu : je suis l'atout féminité du blog ( ndlr : j'avais plutôt dis élégance, charme et intelligence...) ! ...

Aussi, il me faut trouver un autre sujet en commun avec l'univers de ce sympathique Dernier Métro. Et il y en a bien un : Disney !

Comme tout un chacun, j'ai été bercée à un moment ou à un autre par les dessins animés, films d'animations, génériques. Incontournable machine de guerre du cinéma : impossible de faire une vie sans avoir à faire à elle!

Aussi, je vais me présenter un peu à travers ce que j'ai aimé ou non de ce " Monde Magique de Disney ". Peut-être même, pourrez-vous vous reconnaître dans certains souvenirs ? (et je vous demanderais une certaine indulgence quant aux années que je vais mentionner... Oui, certains d'entre vous n'étaient pas nés ! ET ALORS ?!!)

Les premiers souvenirs Disney, ce sont bien évidemment, les dessins animés classiques du genre. On a tous vu les Fantasia, Cendrillon, Belle au Bois Dormant, etc...

Garçon ou fille, peu importe, on connaît tous cette période où l'on regarde indifféremment tout cela. Je me souviens, en revanche, que les histoires me laissaient souvent rêveuses. Salles de ciné, accompagnée de ma grande sœur, nous allions voir toutes ces petites merveilles.

Aller voir un Disney, c'était, déjà à l'époque, aller voir une production de haute qualité. On ne peut pas leur reprocher le fait de n'avoir pas su évoluer et se mettre dans l'air du temps pour plaire au plus grand nombre.

Du plus loin que je me souvienne, j'ai toujours versé ma larme... Le summum (mais j'ai une excuse, j'étais petite, on ne se moque pas...), c'est en 81 pour " Rox et Rouky ". J'ai gardé un souvenir et une tendresse particulière pour ce dessin animé là. Un peu moins pour le ronflement en mode cochon poussé à force de vouloir cacher mes pleurs et que finalement, avant l'asphyxie complète et la cyanose, j'ai repris une respiration... Le cinéma entier était au courant de mon chagrin. Bref, revenons à nos p'tits moutons noirs (attention, référence !)

Il faut avouer que Disney a connu une vraie révolution à la fin des années 80. Un bond a été fait, on est sorti du classicisme pour faire un style différent ! " Qui veut la peau de Roger Rabbit ? " fut un carton amplement mérité ! Le passage du dessin animé classique au film d'animation qui parle aussi aux parents ! J'étais fan absolue de Roger Rabbit ! J'en avais même fait mon personnage de dessin à l'époque. Je passais des heures à croquer la belle Jessica ! (je ne raconterais pas mes tentatives d'imitation de la Belle, seule dans ma chambre, alors que je n'avais que 12 ou 13 ans... Le ridicule ne tue pas, il paraît ! Ouf, me voilà sauvée ! )

J'avoue qu'ensuite, j'ai décroché un peu. Sans doute dû à l'âge, je n'avais pas envie de voir ça au cinéma. Forcément, à l'adolescence, on fuit un peu l'univers enfantin. Mais c'est en 1994, année de mon BAC, qu'un groupe de copains m'a proposé " le Roi Lion " et là, coup de cœur ! Disney m'avait ébloui ! De la tendresse, des dessins à couper le souffle, frôlant la perfection pour les paysages de la savane, un vrai scénario qui pouvait faire frémir grands et petits. Un vrai divertissement familial.

Après ce chef d'œuvre, que je regarde encore aujourd'hui avec ma progéniture, je n'ai plus décroché ! L'arrivée du numérique et des studios Pixar dans la grande machinerie Disney n'a fait qu'amplifier l'attirance que j'ai eu pour elle.

De Toy Story quelques mois après jusqu'à aujourd'hui, ce dernier opus magistral qu'est Zootopie et dont j'avais déjà parlé dans un article ( ndlr : http://www.trendy-show.com/zootopie/), tout a été vu !

Chaque fois, Disney parvient à surprendre tout en gardant ce qui fait son essence : magie de l'image, morale de l'histoire. Et personnellement, je ne m'en lasse pas.

Alors, oui, je partage avec Gourou Laurent ce goût pour l'univers Disney et les créations qui font le bonheur des petits et des grands depuis les années 30 ! Et quelle performance !

Allez, avouez... Vous aussi, vous avez versé des larmichettes devant les dessins animés de votre enfance et je suis sûre que sous la torture, je pourrais même vous faire avouer votre plus lourd secret : " Libérée, délivrée " hurlé sous la douche... ! Allez, on ne me la fait pas à moi !

Sur ce, je retourne vers l'infini et au-delà, en attendant de vous retrouver dans quelques semaines ici-même pour d'autres révélations ! A bientôt !!

Vers l’infini et au delà !
Vers l’infini et au delà !

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