Quelle déception !
Le label Bonitzer tant pour le père Pascal, réalisateur, que pour
sa fille Agathe ( connue depuis Les belles personnes) était
pour moi un gage de qualité.
Mais voilà le
cinéma français se heurte à nouveau à sa capacité à rendre crédible le
monde de l'entreprise qui a bien assez à régler de vrais problèmes
sans devoir y ajouter des histoires personnelle tirées par les
cheveux et pas très passionnantes ( l'ex-amitié des trois anciens
condisciples qui fréquentent la même femme). Quant à l'actrice
tenant le rôle de la jeune surdouée qui va à elle seule trouver le
bon angle pour faire l'acquisition pour le plus grand client,elle dit
elle même qu'elle n'a rien compris à ce monde là, et ça se voit
sans doute s'est-elle donc crue obligée de prendre une attitude
hautaine, glacée, inexpressive....
(encore une fois mon principe se vérifie: se méfier des films dont le titre est bâclé!)