On le constate de plus en plus : à l’ère du tout numérique, de plus en plus de personnes prônent un retour au « C’est moi qui l’ai fait ! » auquel on peut ajouter (parce que c’est aussi le but) « C’est tout fait main ! ». C’est dans cette tendance que s’inscrit le Bullet Journal. Venue d’outre- Atlantique, cette méthode d’organisation est en train de prendre une ampleur considérable… sur le net. Bah oui, on ne se défait pas complètement des vieilles habitudes et le partage d’idées avec les copines fait aussi partie du principe.
T’es un ancien, si tu connais cette pub
Mais kesdonc ?
Le bullet journal est un cahier-journal qui va devenir le meilleur ami de la (ou le) bordélique- débordé(e)- prograstinateur(euse)-artiste- ou /et chercheur(se) de bien-être et d’introspection. Oui, tout ça : vous n’êtes même pas obligés de barrer les mentions inutiles.
Le but, c’est aussi de retrouver du temps pour soi
Le Bujo (pour les intimes) est donc un agenda – carnet de bord que vous pouvez personnaliser à volonté en y mettant à peu près tout ce qui vous passe par la tête. Le principe est de réunir en un carnet toutes vos listes de courses, de lectures, de séries…, mais aussi un calendrier annuel –mensuel-hebdomadaire. Le tout indexé comme il se doit pour s’y retrouver.
Vous ne visualisez pas ? Alors suivez le guide !
Le bullet en 7 étapes
1- Le matériel
Sur beaucoup de blogs, on vous parlera de deux marques qui s’adaptent à ce mode d’organisation : les carnets Moleskine ou Leuchtturm ( à mes souhaits). La particularité de ces carnets c’est qu’ils sont en rupture de stock à cause du succès du concept c’est d’offrir des pages avec pointillés et numérotées. Bien sûr, vous n’êtes pas obligés de prendre ces marques ( surtout qu’ils présentent l’inconvénient de laisser voir les traits de feutre par transparence). N’importe quel carnet (minimum A5) suffit. Tout comme le matériel annexe. Etant donné que le bujo peut être aussi créatif, vous allez peut-être être tentés de vous jeter sur tout le matériel de Scapbooking hors de prix , feutres et stylos de pro. Là encore, c’est accessoire. Votre bujo peut-être fonctionnel sans être décoré.
2- L’index.
En début de cahier, il est bon de laisser une page « Index » qui vous permettra de noter à quelle page se situe par exemple la photo de Sam Heughan complètement nu que vous avez cru bon de coller entre la liste de courses et la page « rêves et inspirations ».
3- Les « Keys »
Le problème avec les concepts anglo-saxo, c’est qu’on s’approprie aussi le vocabulaire. Comme je suis nulle en anglais j’estime que notre langue à suffisamment de mots pour les traduire, je ne vous donne que les termes français ( voir le lien en bas de l’article pour les termes en anglais). « Keys » à traduire donc par « codes ». Ces derniers permettent au jour le jour de définir à quel domaine (rendez-vous, événements, tâches domestiques, travail…. ) appartient les tâches à faire et si ces dernières ont été effectuées ou non.
4- Les calendriers annuels- mensuels- hebdomadaires et quotidiens.
A personnaliser et à multiplier comme le cœur vous en dit et selon vos besoins.
5- Les listes quelles qu’elles soient (lectures, tâches à faire…)
6- Pour certains, le Bullet devient leur meilleur ami dans leur travail de développement personnel.
Ainsi vous pouvez ajouter des pages concernant vos objectifs personnels en terme de santé, de relations sociales, familiales, habitudes, travail…
7- Finalement, la seule règle impérative dans le bullet : FAITES COMME VOUS VOULEZ !
C’est ce qui me séduit dans ce concept. Chaque bujo doit être à l’image de son propriétaire et répondre à ses besoins personnels. Ainsi, pas de complexes devant les créations parfois superbes que l’on peut trouver sur le net, pas de panique si vous n’avez pas des codes super perfectionnés ( moi, j’ai juste des cases), si vous n’avez pas de trakers ( une page pour lister des tâches à effectuer) ultra précis où même le nombre de fois que vous êtes allés au toilette est indiqué. Pour certains (dont je fais partie) , le bullet est aussi un journal intime ou un carnet de bord spécialisé dans une activité en particulier. Bref, faites comme vous le sentez !
Quelques liens
Les photos appartiennent à Boho Berry . Je vous recommande aussi sa chaîne Youtube. Ses vidéos (en anglais) sont très bien conçues et claires.
Le vocabulaire du Bullet Journal
Enfin, n’hésitez pas à piocher sur Instagram ou Pintarest qui fourmillent d’idées originales.
On le constate de plus en plus : à l’ère du tout numérique, de plus en plus de personnes prônent un retour au « C’est moi qui l’ai fait ! » auquel on peut ajouter (parce que c’est aussi le but) « C’est tout fait main ! ». C’est dans cette tendance que s’inscrit le Bullet Journal. Venue d’outre- Atlantique, cette méthode d’organisation est en train de prendre une ampleur considérable… sur le net. Bah oui, on ne se défait pas complètement des vieilles habitudes et le partage d’idées avec les copines fait aussi partie du principe.
T’es un ancien, si tu connais cette pub
Mais kesdonc ?
Le bullet journal est un cahier-journal qui va devenir le meilleur ami de la (ou le) bordélique- débordé(e)- prograstinateur(euse)-artiste- ou /et chercheur(se) de bien-être et d’introspection. Oui, tout ça : vous n’êtes même pas obligés de barrer les mentions inutiles.
Le but, c’est aussi de retrouver du temps pour soi
Le Bujo (pour les intimes) est donc un agenda – carnet de bord que vous pouvez personnaliser à volonté en y mettant à peu près tout ce qui vous passe par la tête. Le principe est de réunir en un carnet toutes vos listes de courses, de lectures, de séries…, mais aussi un calendrier annuel –mensuel-hebdomadaire. Le tout indexé comme il se doit pour s’y retrouver.
Vous ne visualisez pas ? Alors suivez le guide !
Le bullet en 7 étapes
1- Le matériel
Sur beaucoup de blogs, on vous parlera de deux marques qui s’adaptent à ce mode d’organisation : les carnets Moleskine ou Leuchtturm ( à mes souhaits). La particularité de ces carnets c’est qu’ils sont en rupture de stock à cause du succès du concept c’est d’offrir des pages avec pointillés et numérotées. Bien sûr, vous n’êtes pas obligés de prendre ces marques ( surtout qu’ils présentent l’inconvénient de laisser voir les traits de feutre par transparence). N’importe quel carnet (minimum A5) suffit. Tout comme le matériel annexe. Etant donné que le bujo peut être aussi créatif, vous allez peut-être être tentés de vous jeter sur tout le matériel de Scapbooking hors de prix , feutres et stylos de pro. Là encore, c’est accessoire. Votre bujo peut-être fonctionnel sans être décoré.
2- L’index.
En début de cahier, il est bon de laisser une page « Index » qui vous permettra de noter à quelle page se situe par exemple la photo de Sam Heughan complètement nu que vous avez cru bon de coller entre la liste de courses et la page « rêves et inspirations ».
3- Les « Keys »
Le problème avec les concepts anglo-saxo, c’est qu’on s’approprie aussi le vocabulaire. Comme je suis nulle en anglais j’estime que notre langue à suffisamment de mots pour les traduire, je ne vous donne que les termes français ( voir le lien en bas de l’article pour les termes en anglais). « Keys » à traduire donc par « codes ». Ces derniers permettent au jour le jour de définir à quel domaine (rendez-vous, événements, tâches domestiques, travail…. ) appartient les tâches à faire et si ces dernières ont été effectuées ou non.
4- Les calendriers annuels- mensuels- hebdomadaires et quotidiens.
A personnaliser et à multiplier comme le cœur vous en dit et selon vos besoins.
5- Les listes quelles qu’elles soient (lectures, tâches à faire…)
6- Pour certains, le Bullet devient leur meilleur ami dans leur travail de développement personnel.
Ainsi vous pouvez ajouter des pages concernant vos objectifs personnels en terme de santé, de relations sociales, familiales, habitudes, travail…
7- Finalement, la seule règle impérative dans le bullet : FAITES COMME VOUS VOULEZ !
C’est ce qui me séduit dans ce concept. Chaque bujo doit être à l’image de son propriétaire et répondre à ses besoins personnels. Ainsi, pas de complexes devant les créations parfois superbes que l’on peut trouver sur le net, pas de panique si vous n’avez pas des codes super perfectionnés ( moi, j’ai juste des cases), si vous n’avez pas de trakers ( une page pour lister des tâches à effectuer) ultra précis où même le nombre de fois que vous êtes allés au toilette est indiqué. Pour certains (dont je fais partie) , le bullet est aussi un journal intime ou un carnet de bord spécialisé dans une activité en particulier. Bref, faites comme vous le sentez !
Quelques liens