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Alexandre Jardin, entre nuit et brouillard

Par Marcalpozzo
Alexandre Jardin, entre nuit et brouillard

Jusqu’ici, nous connaissions Alexandre Jardin pour ses bluettes à l’eau de rose, assez peu ragoûtantes, je dois bien le dire, et à usage unique. Alexandre a longtemps été le chouchou de ses dames, ménagères de moins de cinquante ans, qui rêvaient d’un gendre idéal, et qui le trouvait en l’image de ce clown (triste), à la fois brillant et talentueux, mais toujours partant néanmoins pour amuser la « galerie ». Et puis voilà ! A quarante-quatre ans, l’éternel enfant romantique signe la fin de la récrée. A quarante-quatre ans, – l’âge où son papa publia son « hymne d’un fils amoureux de son père » –, il l’écrit en toutes lettres : « FINI DE RIRE » ! Le carnet de bord, de sa « lente lucidité » dit-il, est celui d’une confession française ; ce carnet de bord est ce désormais « vrai » roman des Jardin.


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