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Le dernier psaume de James Liffiefors

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete

⭐ Le dernier psaume de James Lilliefors

Le dernier psaume james lilliforsNombre de pages :  390 pagesÉditeur :  MosaïcDate de sortie :  06 juillet 2016Collection :  MosaïcLangue :  FrançaisISBN-10 :  22614540ISBN-13 :  978-2280342803Prix Éditeur :  18,90 eurosDisponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Chesapeake Bay, comté de Tidewater.

Un matin glacial de mars, le pasteur Luke Bowers découvre le cadavre d’une femme sur le banc de la petite église méthodiste de Tidewater. La victime a les yeux ouverts et les mains jointes comme pour une ultime prière. Qui est-elle ? Et pourquoi cette mise en scène ?

Amy Hunter, jeune flic formée au FBI, va mener l’enquête. Confrontée à l’hostilité des habitants, elle n’a que quelques maigres atouts en main. Une piste, d’abord : des chiffres gravés dans la paume de la victime — une référence au livre des Psaumes, selon le pasteur Bowers. Une intuition, ensuite, qui lui souffle que ce meurtre est lié à d’autres commis dans différents Etats. Et puis une certitude : cette affaire compliquée et trouble va la mener aux confins du mal.

Un serial killer mystique et vénal.

Un duo d’enquêteurs inattendu.

Mon avis :

Lire un bon roman se déroulant en plein hiver, avec de la neige partout,  alors que vous êtes dans un train non climatisé, avec l’impression d’être soudée au siège: c’est fait !

Avec un tel titre, “Le dernier psaume”, je n’avais qu’une hâte de me plonger dans un thriller sombre où la religion serait prise comme “terreau” pour les pires atrocités (un peu comme dans le film “Seven” dont je vous invite à regarder si ce n’est pas encore fait). Dès le début, l’ambiance hivernale et la révélation du crime dans une église semblait nous donner le ton du roman. Mais au fil des pages, la tension diminue de plus en plus et nous suivons l’enquête avec un certain détachement sans vraiment avoir de frissons. Et il est de même avec les personnages.

Amy Hunter va devoir enquêter  sur cet étrange crime. Mais comment bien la mener alors qu’on vous considère bien trop jeune pour diriger la brigade et que le shérif local a beaucoup de mépris pour votre personne ? Malgré ces contraintes et avec l’aide du Pasteur Bowers, elle va tant bien que mal avancer dans son enquête et constater que ce crime dépasse de bien loin les frontières de leur ville. J’attendais beaucoup de ce duo improbable, pensant aux nombreuses réparties qu’ils pouvaient s’échanger sur leurs métiers respectifs. Mais là encore, ce ne fut pas vraiment le cas. On effleure que la surface de la relation entre ses deux protagonistes, mais aussi leurs psychologies. Ce reproche peut aussi être donné pour les seconds personnages. Amour, jalousie, orgueil, préjugés… Tant de choses qu’on devine à travers les mots mais peu détaillées, nous laissant sur notre faim. Même le responsable des crimes n’a pas assez de charisme pour vraiment retenir mon attention. Quant à l’enquête qui devait me conduire aux “confins du mal”… Et bien, je vous l’avoue, pour moi, il n’a pas été effrayant.

Pourtant, ce livre m’a marqué d’une certaine manière. Certes, il manque par instant de “pep’s” et nous n’avons pas une intrigue au point de vous couper le souffle, mais j’étais bien curieuse de l’utilisation des psaumes et de leurs utilités dans ces crimes macabres. Et j’avais beaucoup de questions sur les diverses relations entre tous les personnages et leurs répercussions sur l’affaire. J’avais même commencé à me faire des réflexions sur le choix de l’auteur de ne pas les avoir approfondis. Puis je suis arrivée à la fin et là… Je suis restée ébahie sur les derniers mots bien qu’ils soient pleins de sens. L’auteur avait réussi à me surprendre ! Bien qu’il reste des parts de mystères, j’ai aimé ressentir cette réaction car je ne l’avais pas eu depuis bien longtemps pour un roman

Conclusion:  Bien que je fusse déçue que l’intrigue ne soit pas aussi sombre, j’ai assez apprécié ma lecture. La plume de l’auteur est bien plaisante, sans fioritures et on se laisse tout de même emporter par l’enquête. Mais je trouve dommage que la psychologie des personnages ne soit pas assez étoffées afin d’en garder sous le coude: -Il semblerait que le duo Hunter et Bowers soient les protagonistes d’une série où ils devront résoudre les divers mystères de Chesapeake Bay et que “Le dernier psaume” en est le premier volume. Malgré une lecture en demi-teinte, l’effet de surprise à la fin de ce roman, m’a convaincu de lire leurs prochaines aventures pour mieux les connaître. Un roman que je conseillerai surtout pour ceux qui commencent à lire des thrillers.  Pour les habitués, le manque de rebondissements pourraient ne pas répondre à vos attentes.

.Très bon

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⭐ Le dernier psaume de James Lilliefors

Le dernier psaume james lilliforsNombre de pages :  390 pagesÉditeur :  MosaïcDate de sortie :  06 juillet 2016Collection :  MosaïcLangue :  FrançaisISBN-10 :  22614540ISBN-13 :  978-2280342803Prix Éditeur :  18,90 eurosDisponible sur Liseuse : Oui

Son résumé :

Chesapeake Bay, comté de Tidewater.

Un matin glacial de mars, le pasteur Luke Bowers découvre le cadavre d’une femme sur le banc de la petite église méthodiste de Tidewater. La victime a les yeux ouverts et les mains jointes comme pour une ultime prière. Qui est-elle ? Et pourquoi cette mise en scène ?

Amy Hunter, jeune flic formée au FBI, va mener l’enquête. Confrontée à l’hostilité des habitants, elle n’a que quelques maigres atouts en main. Une piste, d’abord : des chiffres gravés dans la paume de la victime — une référence au livre des Psaumes, selon le pasteur Bowers. Une intuition, ensuite, qui lui souffle que ce meurtre est lié à d’autres commis dans différents Etats. Et puis une certitude : cette affaire compliquée et trouble va la mener aux confins du mal.

Un serial killer mystique et vénal.

Un duo d’enquêteurs inattendu.

Mon avis :

Lire un bon roman se déroulant en plein hiver, avec de la neige partout,  alors que vous êtes dans un train non climatisé, avec l’impression d’être soudée au siège: c’est fait !

Avec un tel titre, “Le dernier psaume”, je n’avais qu’une hâte de me plonger dans un thriller sombre où la religion serait prise comme “terreau” pour les pires atrocités (un peu comme dans le film “Seven” dont je vous invite à regarder si ce n’est pas encore fait). Dès le début, l’ambiance hivernale et la révélation du crime dans une église semblait nous donner le ton du roman. Mais au fil des pages, la tension diminue de plus en plus et nous suivons l’enquête avec un certain détachement sans vraiment avoir de frissons. Et il est de même avec les personnages.

Amy Hunter va devoir enquêter  sur cet étrange crime. Mais comment bien la mener alors qu’on vous considère bien trop jeune pour diriger la brigade et que le shérif local a beaucoup de mépris pour votre personne ? Malgré ces contraintes et avec l’aide du Pasteur Bowers, elle va tant bien que mal avancer dans son enquête et constater que ce crime dépasse de bien loin les frontières de leur ville. J’attendais beaucoup de ce duo improbable, pensant aux nombreuses réparties qu’ils pouvaient s’échanger sur leurs métiers respectifs. Mais là encore, ce ne fut pas vraiment le cas. On effleure que la surface de la relation entre ses deux protagonistes, mais aussi leurs psychologies. Ce reproche peut aussi être donné pour les seconds personnages. Amour, jalousie, orgueil, préjugés… Tant de choses qu’on devine à travers les mots mais peu détaillées, nous laissant sur notre faim. Même le responsable des crimes n’a pas assez de charisme pour vraiment retenir mon attention. Quant à l’enquête qui devait me conduire aux “confins du mal”… Et bien, je vous l’avoue, pour moi, il n’a pas été effrayant.

Pourtant, ce livre m’a marqué d’une certaine manière. Certes, il manque par instant de “pep’s” et nous n’avons pas une intrigue au point de vous couper le souffle, mais j’étais bien curieuse de l’utilisation des psaumes et de leurs utilités dans ces crimes macabres. Et j’avais beaucoup de questions sur les diverses relations entre tous les personnages et leurs répercussions sur l’affaire. J’avais même commencé à me faire des réflexions sur le choix de l’auteur de ne pas les avoir approfondis. Puis je suis arrivée à la fin et là… Je suis restée ébahie sur les derniers mots bien qu’ils soient pleins de sens. L’auteur avait réussi à me surprendre ! Bien qu’il reste des parts de mystères, j’ai aimé ressentir cette réaction car je ne l’avais pas eu depuis bien longtemps pour un roman


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