Parmi toutes les expériences merveilleuses que j’ai eu la chance de vivre lors de mon escapade parisienne, on trouve le défilé Andrew GN. Et comme un bonheur n’arrive jamais seul, grâce à René Furterer, j’ai eu la chance de même pouvoir découvrir les backstages du show.
Le défilé avait lieu vendredi soir, au Saut du Loup au Palais de Tokyo. La dernière fois que je suis allée au musée, c’était pour l’exposition Houellebecq, et à ce moment là, je n’imaginais pas y revenir pour un tel évènement.
C’est donc avec une certaine émotion que je suis rentrée dans le Palais et que j’ai franchi le fameux rideau qui sépare les deux parties… Même si j’avais déjà pu assister à des défilés, je n’avais jamais eu l’immense privilège d’aller derrière et de voir les mêmes choses qu’à la télé.
Les coulisses de la mode, c’est uniquement lorsque Canal diffuse « Habillée pour… » où l’on voit Mademoiselle Agnès et Loïc Prigent se balader partout. La semaine dernière, dans ma tête, j’étais Mlle Agnès ! Et ça a été une expérience inoubliable.
Avant le défilé, je ne connaissais pas du tout Andrew GN. J’ai d’ailleurs du faire quelques recherches sur lui histoire de ne pas écrire trop de bêtises à son sujet.
Donc pour celles qui ne le savent pas, Andrew GN est un créateur singapourien qui a fait la prestigieuse St Martin’s School of Art, il a été premier assistant d’Emmanuel Ungaro et il est surtout connu pour son habileté à marier les matières.
Pour cette collection, il s’est inspiré des excentricités de la cour de Versailles (on le voyait également dans le décor de la salle) qu’il a mixé avec des références punk (deux thèmes diamétralement opposés qui ressortent pourtant à merveille !).
L’avantage du backstage, c’est que l’on peut y admirer les pièces de très près et le travail était vraiment beau. Les matières choisies, les coupes (bon il faut dire que la maigreur des mannequins permet d’avoir de toutes petites tailles sur les portants), les détails, les broderies, tout était sublime.
(oui, j’ai eu de gros coup de cœur pour certaines pièces)
Comme on y était un peu tôt, on a pu assister aux répétitions. C’était impressionnant de voir les filles passer avec leurs yeux charbonneux et leurs jolies crêtes (les équipes de chez René Furterer ont fait un boulot fantastique).
Et l’émotion était à son comble quand le défilé a commencé.
Dès que la musique a démarré, la salle s’est tue, et une certaine agitation s’est emparée des photographes. Et le show s’est lancé. La valse des robes et les tops en denim corsetés, des franges des blouses en dentelle extra fine, des jupes cloutées, et des robes à fleurs des grands soirs était partie.
J’ai ai pris plein les mirettes, tellement que j’ai eu l’impression que le défilé n’a duré que 30 secondes tellement que c’était magique. C’était une expérience unique et je remercie une fois de plus les équipes pour cette invitation !
Et toi, tu connais Andrew GN ?
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer
Enregistrer