
de Veronika Mabardiéditions Esperluète édition
De quoi ça parle:
Blanche a perdu sa mère. Un choc pour une petite fille. Depuis elle ne parle plus, enfin elle a cessé de répondre. Perdu et rongé par sa propre douleur, son père la confie à Annie, une ancienne institutrice qui vit dans une petite maison près des bois.
La quatrième de couverture:Blanche ne parle pas, c'est ce qu'ils disent. Ils ont tout essayé.C'est arrivé peu après la mort de la mère. Blanche n'a plus parlé. En dernier recours, le père l'a confiée à Annie, qui vit dans une petite maison, loin de la ville. Un robinet qui fuit, l'odeur du pain qui cuit, un renard aux aguets sous le saule, un cheval dans l'enclos, les cerfs cachés entre les arbres, un amoureux inquiet dans la menuiserie, les silences compliqués et ceux qui sont simples comme l'air... Là-bas, entre la prairie et la forêt, entre Annie et son homme, Blanche retrouvera peu à peu le chemin des mots.
Pourquoi j'ai choisi ce livre:Ce livre était proposé dans la masse critique Babelio, j'avoue que j'ai en premier lieu craqué pour la couverture. En lisant la quatrième de couverture, j'ai eu de suite envie d'en savoir plus sur la petite Blanche. Banco !
Et puis parfois les choses ne sont pas dites, c'est à nous de lire entre les lignes, de comprendre les non-dits, d'interpréter les choses. Du coup je dois avouer que la fin m'a un peu frustrée. J'aurais aimé justement qu'elle soit plus explicite.

...............................................
Besoin de vous: Il faut que j'éradique mes fautes d'orthographes alors n'hésitez pas à me les signaler si vous en voyez.