Live Report : Skye Ross à l’Elysée Montmartre

Hier Soir à Paris, il y avait Skye and Ross à l’Élysée Montmartre !

On ne les présente plus, tant leur ancien groupe Morcheeba a bercé vos oreilles pendant votre jeunesse. Groupe indépendant capable de balancer des tubes planétaires portés par l’une des voix les plus reconnaissables au monde, on a tous un souvenir accroché à l’une de leurs chansons.

J’ai eu la chance de voir Morcheeba à Paris il y a quelques années, je me demande même si ce n’était pas lors de leur dernière venue en France. À cette époque-là, j’avais des soucis de santé, mais je garde malgré tout un très bon souvenir de cette première rencontre.

Même si j’adore ce qu’ils font, je dois avouer que je n’écoute pas tant que ça, je ne me suis donc jamais lassé. Du coup, lorsque j’ai vu que Skye et Ross avaient lancé un nouveau groupe et qu’ils venaient défendre leur premier album sur la nouvelle (et magnifique) scène de l’Élysée Montmartre, j’ai sauté sur l’occasion !

Tout d’abord, je voudrais vous parler de Nina Johansson qui a assuré la première partie de la soirée. Inconnue au bataillon, je suis tombé sous le charme de sa voix et de son univers que je vous invite à découvrir sans plus attendre. C’était une très belle découverte et j’espère vraiment avoir l’occasion de la revoir sur scène prochainement.

Enfin, Skye and Ross ont pris possession de l’Élysée Montmartre (bien rempli, mais pas plein) pour nous offrir un set mélangeant nouvelles compositions et gros tubes de Morcheeba.

Sans surprise et sans trop d’efforts d’ailleurs, ils ont réussi à se mettre la salle dans la poche en à peine quelques minutes pour nous offrir une magnifique soirée pleine de passion. Observer Skye chanter avec autant de facilité est vraiment sidérant. Quelle voix…

Même si je dois avouer que j’aurai aimé un peu plus d’interactions avec la salle, Sky and Ross nous ont prouvé encore une fois que la musique était leur don et qu’ils avaient un malin plaisir à nous le faire partager.

Concert sans surprise, mais tellement magnifique que l’on en redemande !