⭐ La folle histoire du Picasso que personne n’a jamais vu de Laurent Flieder
Nombre de pages : 320
Editeur : JC Lattès
Date de sortie : 5 octobre 2016
Collection : Romans contemporains
Langue : Français
ISBN-10 : 2709656760
ISBN-13 : 978-2709656764
Prix Éditeur : 19€
Disponible sur liseuse : OuiSon résumé :
Un fameux coup de foudre : c’est ce que ressent Picasso lorsqu’il rencontre la sulfureuse Mara Bijou, patronne de la maison close la plus artistique de Montparnasse. De ce choc naîtra une toile inégalable, celle qui révolutionnera la peinture moderne au point que chacun voudra la posséder. Or si elle ne figure dans aucun musée, aucun livre d’histoire, c’est qu’elle n’a cessé de se dérober à tous.
Après La folle histoire de l’urinoir qui déclencha la guerre, Laurent Flieder continue de ressusciter le roman-feuilleton et s’engouffre joyeusement dans les dessous de l’Histoire…de l’art !
Mon Avis :
C’est avant tout le titre et la couverture de ce roman qui m’ont donné envie de le lire. Je me suis tout de suite attendue à quelque chose de drôle ou de burlesque et jeune. Je ne me suis pas trompée. De ce côté là il n’y a rien à dire, c’était vraiment excellent !
Picasso rencontre la gérante d’une maison close et veut à tout prix en faire un portrait pour l’offrir à sa femme, Olga. L’intrigue toute entière tourne autour de ce tableau : de sa conception à toutes les aventures qui l’entourent, notamment le vol de ce même tableau.
Ce qui m’a tout de suite tapé dans l’œil, c’est le style très léger qui attiré notre regard dès les premières lignes et nous emporte dans cette intrigue amusante et burlesque. Ce burlesque est souligné par le nom des personnages qui reprennent certaines de leurs caractéristiques qui ressortent le plus. Sans oublier le franc-parler des personnages et les accents mis à l’honneur (Catalan, japonais, italien, etc…).
Mais ce roman nous montre aussi une facette de Paris après la Première Guerre mondiale avec des personnages meurtris, des changements de mentalités, l’expansion de l’amour libre ou encore le féminisme. Ce roman nous raconte tout cela tout en restant tourné vers la peinture et les artistes miséreux du 20ème siècle.
C’est aussi l’époque où sont découvertes les catacombes de Paris et de tout un réseau souterrain qui relie toutes les caves entres elles.
En peu de mots, ce roman nous propose un portrait d’une France en pleine mutation et en proie aux révolutions artistiques (Dada, cubisme…) avec une intrigue bien ficelée : je n’ai vu venir ni l’identité du voleur ni celle du tueur ! J’ai vraiment passé un bon moment de lecture avec ce livre.
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⭐ La folle histoire du Picasso que personne n’a jamais vu de Laurent Flieder
Nombre de pages : 320
Editeur : JC Lattès
Date de sortie : 5 octobre 2016
Collection : Romans contemporains
Langue : Français
ISBN-10 : 2709656760
ISBN-13 : 978-2709656764
Prix Éditeur : 19€
Disponible sur liseuse : OuiSon résumé :
Un fameux coup de foudre : c’est ce que ressent Picasso lorsqu’il rencontre la sulfureuse Mara Bijou, patronne de la maison close la plus artistique de Montparnasse. De ce choc naîtra une toile inégalable, celle qui révolutionnera la peinture moderne au point que chacun voudra la posséder. Or si elle ne figure dans aucun musée, aucun livre d’histoire, c’est qu’elle n’a cessé de se dérober à tous.
Après La folle histoire de l’urinoir qui déclencha la guerre, Laurent Flieder continue de ressusciter le roman-feuilleton et s’engouffre joyeusement dans les dessous de l’Histoire…de l’art !
Mon Avis :
C’est avant tout le titre et la couverture de ce roman qui m’ont donné envie de le lire. Je me suis tout de suite attendue à quelque chose de drôle ou de burlesque et jeune. Je ne me suis pas trompée. De ce côté là il n’y a rien à dire, c’était vraiment excellent !
Picasso rencontre la gérante d’une maison close et veut à tout prix en faire un portrait pour l’offrir à sa femme, Olga. L’intrigue toute entière tourne autour de ce tableau : de sa conception à toutes les aventures qui l’entourent, notamment le vol de ce même tableau.
Ce qui m’a tout de suite tapé dans l’œil, c’est le style très léger qui attiré notre regard dès les premières lignes et nous emporte dans cette intrigue amusante et burlesque. Ce burlesque est souligné par le nom des personnages qui reprennent certaines de leurs caractéristiques qui ressortent le plus. Sans oublier le franc-parler des personnages et les accents mis à l’honneur (Catalan, japonais, italien, etc…).
Mais ce roman nous montre aussi une facette de Paris après la Première Guerre mondiale avec des personnages meurtris, des changements de mentalités, l’expansion de l’amour libre ou encore le féminisme. Ce roman nous raconte tout cela tout en restant tourné vers la peinture et les artistes miséreux du 20ème siècle.
C’est aussi l’époque où sont découvertes les catacombes de Paris et de tout un réseau souterrain qui relie toutes les caves entres elles.
En peu de mots, ce roman nous propose un portrait d’une France en pleine mutation et en proie aux révolutions artistiques (Dada, cubisme…) avec une intrigue bien ficelée : je n’ai vu venir ni l’identité du voleur ni celle du tueur ! J’ai vraiment passé un bon moment de lecture avec ce livre.