Le lait hydratant pour le corps au lait de chèvre de la Maison Berthe Guilhem, mon soin du moment

Avant de partir en vacances, ma peau a commencé à montrer quelques signes de faiblesse. Petites rougeurs, apparition d’un début de « crocodilisation »… Pendant les congés, la crème solaire a aidé à ne pas empirer la situation de ce côté là, mais le soleil brésilien étant différent du notre, j’ai fini avec une allergie au soleil sur les jambes (ça change du visage !) et la peau dans un état lamentable.

Heureusement le mauvais temps et la fraicheur du retour m’ont permis de protéger mes gambettes, de retrouver mes produits et l’eau « normale » de la maison… Et surtout de pouvoir enfin essayer mon nouveau lait hydratant pour le corps de la Maison Berthe Guilhem. Inconnue jusqu’alors, cette marque a pourtant tout pour me plaire.

D’abord parce qu’elle est « locale » puisqu’elle en région Midi-Pyrénées, et plus particulièrement au cœur des Pyrénées ariégeoises, puis parce qu’ils ont un savoir faire familial et artisanal, et qu’ils font attention à tous les types de peaux, même les plus fragiles.

Tu peux le voir dans mes billets, alors que je consomme de nombreux produits, je tente de faire le plus attention possible à ce que j’utilise. De toute façon, avec ma peau ultra sensible et hyper fragile, si je fais n’importe quoi, je le paie vite !

Du coup, quand j’ai vu que la marque faisait attention à ses composants et que la production est certifiée biologique, labellisée COSMEBIO, et donc respectueuse de la santé et l’environnement, j’ai été conquise. En effet, on le voit en quelques chiffres : les soins ont entre 55 et 100% d’ingrédients biologiques certifiés bio; plus de 98% d’ingrédients naturels; 0% de parfums de synthèse, colorants, paraben, phénoxyéthanol, EDTA, phtalates (mes copains que je tente limiter ou supprimer dans ma routine beauté).
Puis il faut dire que le fait de voir qu’ils utilisent du lait de chèvre alpine, reconnu pour ses propriétés hydratantes et anti-âge, a éveillé ma curiosité.

Il y a quelques années, j’avais essayé des produits au lait d’ânesse, mais leur parfum ne m’avait pas plu, c’est donc avec une certaine impatience que j’ai attaqué mon test.

Tout d’abord j’ai adoré leur flacon pompe. Je trouve qu’il est très bien fait, on ne se retrouve pas avec 10kg de crème dans les mains, c’est parfait. Et j’ai surtout bien aimé le côté rétro de l’étiquette.
Niveau application, je n’ai rien à redire là non plus, au contraire ! Le soin s’applique très facilement et est absorbé rapidement par la peau. Son énorme point fort est son côté non gras. On sent que la peau est hydratée, douce, mais il ne colle pas, ce qui est vraiment très agréable quand on doit enfiler un pantalon juste après. Si il y a bien un truc qui m’énerve souvent avec les laits pour le corps, c’est quand on doit se contorsionner dans tous les sens pour s’habiller juste après.
Pour le côté technique, on trouve dans sa composition du lait de chèvre Alpine (riche en ubiquinone Q10, en acide caprylique, en vitamines A, B6 et B12), de l’Aloe Vera bio, de l’eau florale d’Hammamélis bio, de l’huile de Jojoba bio, de l’huile d’Onagre bio, et de l’huile de Bourrache bio. Et ce mélange ne donne pas un produit avec une odeur bizarre ou désagréable, au contraire. Lors de ma première utilisation, j’ai été surprise de voir que ce soin n’a pas d’odeur. Pour chipoter, on va dire que c’est le seul reproche que je peux lui faire. Je l’utilise plutôt le soir, et j’aime bien avoir des soins « doudou » à ce moment là, avec des senteurs douces.

Alors que ma peau avait été plutôt malmenée avant d’essayer ce produit, jusqu’à aujourd’hui je n’ai eu aucune autre réaction (et je ne vais pas m’en plaindre !).
Sur la papier, sa formule nous assure fermeté et éclat de la peau, relance la régénération cutané et restaure l’architecture de la peau. Alors le côté fermeté je ne l’ai pas trop vu (peut être que j’en ai assez « naturellement » pour l’instant ?), mais je peux affirmer que la peau est plus jolie quand on l’utilise !

Et toi, tu connais ce soin de la Maison Berthe Guilhem ?

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