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Harry Potter et l’enfant maudit

Par Angelalitterature

harry-potter-et-lenfant-mauditHarry Potter et l’enfant maudit, pièce de théâtre de Jack Thorne, d’après une histoire originale de J.K. Rowling, Gallimard, 2016, 352 pages, 21€.

Il n’aura pas fallu beaucoup de temps à ce dernier tome des aventures d’Harry Potter pour arriver en tête des ventes. Des milliers de fans avaient déjà acheté le livre dans sa version originale, en anglais, sorti en juillet dernier. Pour les plus patients qui attendaient la sortie du livre en français, le voici en librairie depuis mi-octobre.

Harry Potter et l’enfant maudit est le huitième tome de la saga. Ce n’est pas un roman, mais une pièce de théâtre. Nous sommes dix-neuf ans plus tard. Harry Potter est marié à Ginny, la sœur de Ron Weasley, avec qui il a trois enfants. Quant à Hermione Granger et Ron, ils se sont mariés, et ont aussi des enfants ensemble. Les petits sorciers sont devenus grands.

Albus Severus Potter, le second fils d’Harry et Ginny, entre à Poudlard et sa plus grande crainte est de finir à Serpentard. Il a comme un pressentiment… Son père lui rappelle que son nom rend hommage à la fois à Albus Dumbledore et à Severus Rogue. Ce dernier fut un homme important dans la vie d’Harry, et il était pourtant à Serpentard. Mais les relations entre le père et le fils s’enveniment. Et le jeune Albus fait la rencontre d’un certain Scorpius Malefoy, le fils de Drago Malefoy…

Quand on a passé de longues nuits de son adolescence et de son enfance à lire Harry Potter avec une petite lampe torche sous sa couette, un énième volume de la saga provoque inévitablement un retour en enfance. Lorsque j’ai eu le livre entre les mains, je l’ai commencé le soir et fini dans la nuit. Comme avant. Pour les amoureux d’Harry Potter, le fait que ce soit une pièce de théâtre ne change rien. L’intrigue nous entraîne, les références aux anciens personnages nous replongent immédiatement dans l’univers. On ne lâche plus le livre, jusqu’à la dernière page. Les rebondissements s’enchaînent, la construction est implacable, comme dans les anciens volumes. Le petit Albus devient le nouveau Harry. Et on repartirait bien pour de nouvelles aventures…

Site des éditions Gallimard


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