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La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Par Anneju71 @LesMotordus

Nous sacrifions traditionnellement dans la blogosphère à deux rituels à l’approche des fêtes de fin d’année : le concours et le classement des meilleurs livres.

Anne-Ju s’est chargée du concours, je vous propose ma sélection des meilleurs livres que j’ai lus cette année.

Vous y trouverez des romans et des thrillers, dont plusieurs publiés en 2016, de la science-fiction, un essai et un recueil de poèmes, classés par ordre alphabétiques, et pour certains d’entre eux chroniqués ici même.

Une énième sélection me direz-vous. Avouons-le, nous avons tous la curiosité de consulter la sélection des blogueurs. Et si nous avons tendance à nous énerver quand nous voyons un ou deux livres qui nous ont déplu y figurer, nous ne manquons pas de noter le titre d’un roman qui aurait échappé à la vigilance de notre libraire ou à celle des réseaux sociaux. Car c’est là tout l’intérêt de l’exercice : partager avec vous nos coups de cœur littéraires en vous donnant envie de découvrir une œuvre et son auteur.

Cette sélection est suivie d’une belle surprise en vidéo que vous réservent, en exclusivité pour le blog Les Motordus d’Anne-Ju, trois de nos plus talentueux auteurs de thrillers made in France : Johana Gustawsson, Philip Le Roy et Sébastien Bouchery. L’exercice n’a rien d’évident pour un écrivain et pourtant tous les trois m’ont fait l’amitié d’accepter. Un immense merci à eux de s’être prêtés au jeu !

Et sans plus tarder, voici ma sélection :

La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016
  

Block 46 de Johana Gustawsson, Bragelonne, collection Thriller, octobre 2015 – Ma chronique ici et celle d’Anne-Ju ici


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Carnets noirs (Finders Keepers) de Stephen King, traduit de l’anglais (États-Unis) par Océane Bies et Nadine Grassie, Albin Michel, mars 2016


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Cartel (The Cartel) de Don Winslow, traduit de l’anglais (États-Unis) par Jean Esch, Seuil, septembre 2016


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Le Choix de Sophie (Sophie’s Choice) de William Styron, traduit de l’anglais (États-Unis) par Maurice Rambaud, Gallimard, collection Folio, février 1995


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Le Diable, tout le temps (The Devil All The Time) de Donald Ray Pollock, traduit de l’anglais (États-Unis) par Christophe Mercier, Albin Michel, février 2012


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Dusk de Sébastien Bouchery, éditions Fleur Sauvage, août 2016 – Ma chronique ici


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

L’Été meurtrier de Sébastien Japrisot, in Romans policiers, Gallimard, collection Quarto, avril 2011 – Ma chronique ici


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

La Femme qui avait perdu son âme (The Woman who lost her soul) de Bob Shacochis, traduit de l’anglais (États-Unis) par François Happe, Gallmeister, collection Americana, janvier 2016 – Ma chronique ici


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Futu.re (Будущее) de Dmitry Glukhovsky, traduit du russe par Denis E. Savine, L’Atalante, collection La Dentelle du cygne, septembre 2015


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Intérieur nuit (Night Film) de Marisha Pessl, traduit de l’anglais (États-Unis) par Clément Claude, Gallimard, août 2015


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Kaddish pour l’enfant qui ne naîtra pas (Kaddis a meg nem született gyermekért) d’Imre Kertész, traduit du hongrois par Natalia Zaremba-Huzsvai et Charles Zaremba, Actes Sud, collection Babel, novembre 2003


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Marilyn X de Philip Le Roy, Le Cherche midi, mai 2016 – Ma chronique ici


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Les Planches courbes, précédé de Ce qui fut sans lumière et de La vie errante d’Yves Bonnefoy, Gallimard, collection Poésie, octobre 2015


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Six Jours (All Involved) de Ryan Gattis, traduit de l’anglais (États-Unis) par Nicolas Richard, éditions Fayard, septembre 2015


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Sous le feu. La mort comme hypothèse de travail de Michel Goya, Tallandier, collection Texto, octobre 2015 – Ma chronique ici


La chronique de Guillaume Richez : Mon palmarès 2016

Les Vestiges du jour (The Remains of the Day) de Kazuo Ishiguro, traduit de l’anglais par Sophie Mayoux, Gallimard, collection Folio, mars 2010


Bonus exclusifs (en avant-première, rien que pour vos yeux, à retrouver sur YouTube) :

Un immense merci à Anne-Ju qui a proposé, il y a quelques mois, au squatteur que je suis, d’héberger mes chroniques sur son blog. Treize articles et un jeu-concours estival (en partenariat avec la librairie Maupetit) plus tard, l’envie de partager ces moments avec vous est plus forte que jamais.

Nous nous retrouverons en 2017 pour une nouvelle année riche en belles découvertes littéraires. Je vous parlerai de western, de science-fiction, de thriller horrifique, de roman gore, de poésie contemporaine et de mon roman à paraître en cours d’année…

À très vite !


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