Avec le chéri, nous recherchions une bonne série qui change un peu ce que nous avions pu déjà voir auparavant. Notre choix s’est porté sur Penny Dreadful, et nous ne le regrettons absolument pas !
⭐ Penny Dreadful Saison 1 de John Logan
Créée par : John Logan
Année de sortie : 2014 sur Netflix
Avec : Eva Green, Josh Hartnett, Timothy Dalton, Billy Piper, Harry Treadaway, Rory Kinnear…
Nationalité : Américaine, britannique, irlandaise
Genre : Drame, Épouvante-horreur, Policier
Statut : Production achevée
Format : 52 minutes
Nombre de saisons : 3
Nombre d’épisode pour la saison 1 : 9De quoi ça parle ?
Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…
⭐ Liste des épisodes :
Ep. 1 : Le jour où Tennyson est décédé
Ep. 2 : Prédateurs proches et lointains
Ep. 3 : Le Bien et le Mal entrelacés
Ep. 4 : Un brin d’herbe
Ep. 5 : This World Is Our Hell
Ep. 6 : Nulle bête plus féroce
Ep. 7 : La mer se retire
Ep. 8 : Nuit perpétuelle
Ep. 9 : La nuit sacrée
⭐ La Bande Annonce
⭐ Mon avis :
Cela faisait bien longtemps que nous n’avions pas été scotchée devant notre écran par une série, enfin pour ma part, pas depuis Westworld qui reste mon coup de cœur de l’année dernière.
De base, j’ai toujours aimé les bons films d’épouvantes bien amenés. Ici Penny Dreadful mélange savamment cet aspect là avec un esthétisme presque léché. C’est beau et ça fait peur en même temps ! Penny Dreadful flirte aisément avec les limites et nous propose une première saison qui met les choses en places de manières plutôt lente, mais terriblement attrayantes !
Le fil conducteur est la disparition de Mina Murray Harker, l’épouse de Jonathan Harker… Cela vous dit quelque chose ? C’est normal puisque la série s’appuie sur le Dracula de Bram Stocker.
Mais ici, il n’y a pas que ce roman qui est mis en lumière. Ainsi, nous allons aussi voir le docteur Victor Frankenstein et sa terrible créature si solitaire (qui m’a beaucoup émue malgré des débuts difficiles) et incomprise, mais aussi Dorian Gray. Le point de ralliement à tous ses héros de récits différents n’est autre que le personnage de Vanessa Ives. Cette dernière n’apparait dans aucuns livres et pour cause puisqu’elle est l’un des rares protagonistes inventé par le créateur de la série, John Logan. Vanessa Ives est interprétée de manière magistrale par Eva Green qui nous a beaucoup impressionné dans ce rôle.
Vanessa est un puissant médium qui ne maitrise pas vraiment son pouvoir et se retrouve bien trop souvent utilisée par les forces obscures. Son point faible est la culpabilité qu’elle ressent envers sa meilleure amie, Mina. C’est pourquoi elle mettra tout en œuvre pour la sauver des griffes des vampires. Sa relation avec le père de Mina est assez étrange et c’est au fur et à mesure des épisodes que nous découvrons ce qu’il en est. Vanessa va demander l’aide d’un jeune américain très mystérieux, Ethan Chandler qui s’amourachera lui-même d’une jeune prostituée atteinte de tuberculose, et jouée par Billy Piper (Rose dans Docteur Who). On notera aussi la présence de Timothy Dalton ( plus connus pour son rôle de James Bond – dès que je l’ai vu à l’écran, ses yeux me disaient quelque chose, mais au départ, je n’arrivais pas à le remettre…)
Impossible de ne pas s’attacher à tous ses personnages qui gravitent autour de Vanessa Ives et qui vont finir par tous se rencontrer. Ils vont se retrouver liés d’une manière ou d’une autre.
Il y a des moments dans la série qui sont vraiment éprouvants à regarder. Certaines scènes sont même empruntées à l’Exorciste et j’avoue que Eva Green nous a bien fait flipper !
Indéniablement, si vous recherchez une bonne série d’épouvante au scénario plutôt léché et à l’esthétisme certain, je ne peux que vous recommander Penny Dreadful. La fin de la saison 1 se termine en apothéose et n’appelle qu’à une chose : voir la suite au plus vite !
Pour anecdote, Penny Dreadful ne désigne pas un personnage. Il s’agissait en fait de nouvelles nommées ainsi car elles coûtaient un penny et étaient plutôt effrayantes.
⭐ La Galerie d’images
Avec le chéri, nous recherchions une bonne série qui change un peu ce que nous avions pu déjà voir auparavant. Notre choix s’est porté sur Penny Dreadful, et nous ne le regrettons absolument pas !
⭐ Penny Dreadful Saison 1 de John Logan
Créée par : John Logan
Année de sortie : 2014 sur Netflix
Avec : Eva Green, Josh Hartnett, Timothy Dalton, Billy Piper, Harry Treadaway, Rory Kinnear…
Nationalité : Américaine, britannique, irlandaise
Genre : Drame, Épouvante-horreur, Policier
Statut : Production achevée
Format : 52 minutes
Nombre de saisons : 3
Nombre d’épisode pour la saison 1 : 9De quoi ça parle ?
Dans le Londres de l’époque Victorienne, Vanessa Ives, une jeune femme puissante aux pouvoirs hypnotiques, allie ses forces à celles d’Ethan, un garçon rebelle et violent aux allures de cowboy, et de Sir Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables. Ensemble, ils combattent un ennemi inconnu, presque invisible, qui ne semble pas humain et qui massacre la population…
⭐ Liste des épisodes :
Ep. 1 : Le jour où Tennyson est décédé
Ep. 2 : Prédateurs proches et lointains
Ep. 3 : Le Bien et le Mal entrelacés
Ep. 4 : Un brin d’herbe
Ep. 5 : This World Is Our Hell
Ep. 6 : Nulle bête plus féroce
Ep. 7 : La mer se retire
Ep. 8 : Nuit perpétuelle
Ep. 9 : La nuit sacrée
⭐ La Bande Annonce
⭐ Mon avis :
Cela faisait bien longtemps que nous n’avions pas été scotchée devant notre écran par une série, enfin pour ma part, pas depuis Westworld qui reste mon coup de cœur de l’année dernière.
De base, j’ai toujours aimé les bons films d’épouvantes bien amenés. Ici Penny Dreadful mélange savamment cet aspect là avec un esthétisme presque léché. C’est beau et ça fait peur en même temps ! Penny Dreadful flirte aisément avec les limites et nous propose une première saison qui met les choses en places de manières plutôt lente, mais terriblement attrayantes !
Le fil conducteur est la disparition de Mina Murray Harker, l’épouse de Jonathan Harker… Cela vous dit quelque chose ? C’est normal puisque la série s’appuie sur le Dracula de Bram Stocker.
Mais ici, il n’y a pas que ce roman qui est mis en lumière. Ainsi, nous allons aussi voir le docteur Victor Frankenstein et sa terrible créature si solitaire (qui m’a beaucoup émue malgré des débuts difficiles) et incomprise, mais aussi Dorian Gray. Le point de ralliement à tous ses héros de récits différents n’est autre que le personnage de Vanessa Ives. Cette dernière n’apparait dans aucuns livres et pour cause puisqu’elle est l’un des rares protagonistes inventé par le créateur de la série, John Logan. Vanessa Ives est interprétée de manière magistrale par Eva Green qui nous a beaucoup impressionné dans ce rôle.
Vanessa est un puissant médium qui ne maitrise pas vraiment son pouvoir et se retrouve bien trop souvent utilisée par les forces obscures. Son point faible est la culpabilité qu’elle ressent envers sa meilleure amie, Mina. C’est pourquoi elle mettra tout en œuvre pour la sauver des griffes des vampires. Sa relation avec le père de Mina est assez étrange et c’est au fur et à mesure des épisodes que nous découvrons ce qu’il en est. Vanessa va demander l’aide d’un jeune américain très mystérieux, Ethan Chandler qui s’amourachera lui-même d’une jeune prostituée atteinte de tuberculose, et jouée par Billy Piper (Rose dans Docteur Who). On notera aussi la présence de Timothy Dalton ( plus connus pour son rôle de James Bond – dès que je l’ai vu à l’écran, ses yeux me disaient quelque chose, mais au départ, je n’arrivais pas à le remettre…)
Impossible de ne pas s’attacher à tous ses personnages qui gravitent autour de Vanessa Ives et qui vont finir par tous se rencontrer. Ils vont se retrouver liés d’une manière ou d’une autre.
Il y a des moments dans la série qui sont vraiment éprouvants à regarder. Certaines scènes sont même empruntées à l’Exorciste et j’avoue que Eva Green nous a bien fait flipper !
Indéniablement, si vous recherchez une bonne série d’épouvante au scénario plutôt léché et à l’esthétisme certain, je ne peux que vous recommander Penny Dreadful. La fin de la saison 1 se termine en apothéose et n’appelle qu’à une chose : voir la suite au plus vite !
Pour anecdote, Penny Dreadful ne désigne pas un personnage. Il s’agissait en fait de nouvelles nommées ainsi car elles coûtaient un penny et étaient plutôt effrayantes.