Je me suis égaré dans la banlieue de vivre.
C’était un soir blafard comme je les aime assez
J’enseignais la solitude.
Donnant cours (magistraux !) à celles et à ceux que ce mot,
rien que lui, fait blémir.
Disons que j’écris afin que Gabriel Fauré mette de la musique sous mes
mots.
Je suis sans âge, pourquoi dès lors, ne pas unir les forces qui demeurent
en moi avec celles d’un musicien composant, désormais, pour le cosmos.
Je me suis trompé, il n’y a rien à vivre sur cette terre.