

Le début du film est donc très prometteur car la réalisation est à la hauteur du propos, mais au fur et à mesure que les situations se dramatisent encore le film paraît lui s'enliser et même s'embourber. A force de nous dépeindre une femme devenue amorale dont le corr éla ire est la solitude, on hésite entre leçon de morale ou complaisance, mais jamais empathie...nous ramenant au roman suranné (en ce qui concerne le monde occidental.....)