⭐ Retour à Ellinghurst de Clare Clark
Nombre de pages : 700 pages
Editeur : J’ai Lu
Date de sortie : 12 avril 2017
Langue : Français
ISBN-10: 2290142840
ISBN-13: 978-2290142844
Prix Editeur : 8,40€
Disponible sur Liseuse : OuiSon résumé :
1910. Les enfants Melville grandissent dans le château familial d’Ellinghurst : Jessica rêve de haute société londonienne, sa soeur Phyllis d’études à l’université, tandis que leur frère Théo, héritier du domaine, éclipse déjà tout le monde autour de lui. Quand la Grande Guerre éclate, chacun tente de trouver sa place dans un monde en pleine mutation. C’est alors qu’Oscar Greenwood fait irruption dans leur vie pour la bouleverser à jamais et révéler des secrets de famille enfouis depuis longtemps. Dans une atmosphère à la Downton Abbey, Clare Clark met en scène le violent conflit entre tradition et modernité qui frappe l’Angleterre d’après-guerre.
⭐ Mon avis :
Ce roman se présentait selon moi comme une fresque familiale où les secrets de famille vont resurgir, sous la période de haute tension qu’est la première guerre mondiale, puis l’entre-deux guerres. Je dois dire que j’ai été un peu perplexe au début du roman, car je n’arrivais pas à me mettre dedans, un peu effarée devant la taille conséquente du roman, de 700 pages tout pile ! Généralement les gros pavés, c’est soit très long soit c’est génial parce que tu passes du temps dans ta lecture et que surtout ça veut dire qu’il y a du contenu. Je suis encore un peu partagée face à ce roman, je l’ai appréciée, mais il y avait quand même beaucoup de longueurs.
On retrouve donc dans ce roman fleuve une famille qui craint de perdre le château familial, le domaine d’Ellinghurst. On va principalement suivre les deux filles de la famille, Phyllis et Jessica, dans leur ascension dans le monde. Les deux sont d’ailleurs très différentes. Phyllis est très intelligente et aspire à faire de grandes études, elle ne rêve que de ça depuis son adolescence. Elle refuse également de se marier, car elle craint de perdre sa liberté. Quant à Jessica, c’est plutôt l’inverse, elle aime les mondanités et rêve un peu du prince charmant. Mais elle est aussi très coquette et aimerait être plus indépendante pour découvrir les mondanités de Londres.
Ces deux femmes incarnent complètement la période charnière qu’est l’entre-deux guerres en Angleterre, car c’est la période des suffragettes et où le vote est enfin accordé aux femmes. A leur manière, elles incarnent la nouvelle génération de femmes, qui oscille entre tradition et liberté. Et comme autre personne principal, on retrouve également Oscar, qui est du même âge que Jessica, et qui aspire à être physicien. Je dois avouer qu’il a été mon personnage favori dans ce roman, car il est très complexe et intéressant. C’est aussi sûrement le personnage le plus attachant et vulnérable. Bon par contre, dès que ça parlait physique à cause de lui, j’étais complètement larguée et je lisais en diagonale presque, ça partait trop loin pour moi !
Les longueurs dans ce roman sont assez conséquentes, mais finalement cela m’a plus gênée au début, vu que ça m’empêchait de rentrer dans l’histoire. Finalement après, j’ai pris le rythme du roman, lisant tranquillement la vie des personnages, que l’on suit sur une dizaine d’années quand même. Niveau secrets et révélations, on attend un bon moment avant d’en avoir, quasiment la fin du roman, ce qui est assez dommage, vu que c’est vraiment ce que j’attendais.
En conclusion, j’ai apprécié ce roman, même si j’ai du un peu batailler pour vraiment rentrer dans l’histoire. Le tout est vraiment passionnant, pour les personnages et la période très particulière. Ce fut donc une très bonne lecture anglaise, originale et complexe.
C’était très bien
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Nombre de pages : 700 pages
Editeur : J’ai Lu
Date de sortie : 12 avril 2017
Langue : Français
ISBN-10: 2290142840
ISBN-13: 978-2290142844
Prix Editeur : 8,40€
Disponible sur Liseuse : OuiSon résumé :
1910. Les enfants Melville grandissent dans le château familial d’Ellinghurst : Jessica rêve de haute société londonienne, sa soeur Phyllis d’études à l’université, tandis que leur frère Théo, héritier du domaine, éclipse déjà tout le monde autour de lui. Quand la Grande Guerre éclate, chacun tente de trouver sa place dans un monde en pleine mutation. C’est alors qu’Oscar Greenwood fait irruption dans leur vie pour la bouleverser à jamais et révéler des secrets de famille enfouis depuis longtemps. Dans une atmosphère à la Downton Abbey, Clare Clark met en scène le violent conflit entre tradition et modernité qui frappe l’Angleterre d’après-guerre.
⭐ Mon avis :
Ce roman se présentait selon moi comme une fresque familiale où les secrets de famille vont resurgir, sous la période de haute tension qu’est la première guerre mondiale, puis l’entre-deux guerres. Je dois dire que j’ai été un peu perplexe au début du roman, car je n’arrivais pas à me mettre dedans, un peu effarée devant la taille conséquente du roman, de 700 pages tout pile ! Généralement les gros pavés, c’est soit très long soit c’est génial parce que tu passes du temps dans ta lecture et que surtout ça veut dire qu’il y a du contenu. Je suis encore un peu partagée face à ce roman, je l’ai appréciée, mais il y avait quand même beaucoup de longueurs.
On retrouve donc dans ce roman fleuve une famille qui craint de perdre le château familial, le domaine d’Ellinghurst. On va principalement suivre les deux filles de la famille, Phyllis et Jessica, dans leur ascension dans le monde. Les deux sont d’ailleurs très différentes. Phyllis est très intelligente et aspire à faire de grandes études, elle ne rêve que de ça depuis son adolescence. Elle refuse également de se marier, car elle craint de perdre sa liberté. Quant à Jessica, c’est plutôt l’inverse, elle aime les mondanités et rêve un peu du prince charmant. Mais elle est aussi très coquette et aimerait être plus indépendante pour découvrir les mondanités de Londres.
Ces deux femmes incarnent complètement la période charnière qu’est l’entre-deux guerres en Angleterre, car c’est la période des suffragettes et où le vote est enfin accordé aux femmes. A leur manière, elles incarnent la nouvelle génération de femmes, qui oscille entre tradition et liberté. Et comme autre personne principal, on retrouve également Oscar, qui est du même âge que Jessica, et qui aspire à être physicien. Je dois avouer qu’il a été mon personnage favori dans ce roman, car il est très complexe et intéressant. C’est aussi sûrement le personnage le plus attachant et vulnérable. Bon par contre, dès que ça parlait physique à cause de lui, j’étais complètement larguée et je lisais en diagonale presque, ça partait trop loin pour moi !
Les longueurs dans ce roman sont assez conséquentes, mais finalement cela m’a plus gênée au début, vu que ça m’empêchait de rentrer dans l’histoire. Finalement après, j’ai pris le rythme du roman, lisant tranquillement la vie des personnages, que l’on suit sur une dizaine d’années quand même. Niveau secrets et révélations, on attend un bon moment avant d’en avoir, quasiment la fin du roman, ce qui est assez dommage, vu que c’est vraiment ce que j’attendais.
En conclusion, j’ai apprécié ce roman, même si j’ai du un peu batailler pour vraiment rentrer dans l’histoire. Le tout est vraiment passionnant, pour les personnages et la période très particulière. Ce fut donc une très bonne lecture anglaise, originale et complexe.
C’était très bien
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