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Le Roi du Plaquage de Marc Moritz

Par Artemissia Gold @SongeD1NuitDete
Le Roi du Plaquage de Marc MoritzLe Roi du Plaquage de Marc MoritzLe Roi du Plaquage de Marc Moritz

Le Roi du Plaquage de Marc Moritz

Le Roi du Plaquage de Marc MoritzLe Roi du Plaquage de Marc MoritzNombre de pages : 216 pages
Editeur : Milady
Date de sortie : 27 février 2017
ISBN-10: 2811219218
ISBN-13: 978-2811219215
Collection : Emotions
Prix : 6,90€
Disponible sur liseuse : OUI

Résumé :

Cent dix kilos de muscles peuvent-ils résister à un mètre soixante de finesse ?

Romain Mevasta est un joueur de rugby comme on n’en fait plus. Et il le sait. C’est aussi un homme comme on n’en fait plus, mais il n’en a pas vraiment conscience. Il n’est pas de ces minets qui posent pour les calendriers. Il court les jupons c’est vrai, un peu, mais pas les soirées de presse. Très peu pour lui. À 35 ans il est en fin de carrière et se trouve à un tournant de sa vie. Il s’est taillé une réputation de cogneur dans sa folle jeunesse, mais en fait ses coéquipiers le surnomment le philosophe parce qu’il lit. C’est un bourru au cœur tendre finalement. Et sa rencontre avec Margot va le bouleverser. Margot est photographe, elle est là pour tirer le portrait des joueur et faire la photo annuelle. Certains joueurs, dont l’ennemi juré de Romain, se montrent un peu agressifs avec elle et Romain fait alors un peu trop honneur à sa réputation. C’est le début des ennuis pour lui et d’une belle histoire entre lui et Margot à qui il devra prouver qu’il est capable de donner sa confiance.

⭐ Mon avis :

Romain Mevasta est un des piliers du rugby. Âgé de trente-cinq ans, il fait parti de l’ancienne génération, celle qui faisait passer le ballon ovale avant les contrats de publicité. C’est aussi un gentleman de presque deux mètres de hauteur, qui va craquer sur la douceur discrète de la jolie Margot.

Bien que l’histoire soit très courte, on s’attache sans peine à Romain, du point de vue duquel l’histoire se déroule. Nous sommes dans sa tête, nous ressentons tout ce qu’il ressent, de ses problèmes de dos à son crush sur Margot.

Et, justement, ce que j’ai aimé avec Le Roi du Plaquage, se tient en plusieurs points : tout d’abord, point de rencontre extravagante, ou de coup de foudre au premier regard. La rencontre, pourtant banale, passe pour inhabituelle, puisque dans la romance d’aujourd’hui, la première rencontre se doit d’être extraordinaire. Pourtant là, nos deux héros se rencontrent par hasard, au supermarché, et c’est en cela que ça fait rêver : nous aussi, on aimerait croiser des montagnes de muscles entre deux allées du rayon fruits et légumes.

De plus, l’histoire est une romance, écrite du point de vue d’un homme, par un homme. En cela, c’est tout simplement notable. En lisant le livre, je ne m’attendais vraiment pas à trouver autant de douceur dans les paroles et dans les pensées d’un homme, en tout cas des paroles et des pensées qui n’aient pas été écrites de la main d’une femme. Et pourtant, Romain se montre plus gentleman et délicat dans sa façon d’être que la plupart des hommes que j’ai pu croiser dans la romance.

L’histoire se passe dans une ville dont le nom n’est pas mentionné, mais le décor est planté en France, et, encore un fait notable, point de Paris de touristes ou de Côte-d’Azur de carte postale. Une petite ville toute simple qui aime le rugby et les joueurs de l’équipe locale. Tiens, parlons-en, de l’équipe locale : Marc Moritz nous entraîne dans l’univers du rugby, trop souvent oublié au profit des sports « à l’américaine », comme le football ou le hockey.  On y voit les dessous d’un monde qui garde une âme plus authentique que le foot français, tout en devenant de plus en plus une histoire de marketing (selon Romain). Un point de vue rafraîchissant sur un sport trop souvent relégué au second plan.

Bref, un très agréable moment passé en compagnie du sublime Romain Mevasta, dont je vous défie de ne pas vouloir lui donner votre numéro de téléphone en refermant le livre. Bien que les personnages soient de purs produits de fiction (dommage), le contexte, lui, est bien réel, et on se prend au jeu. Et au dernier coup de sifflet, on croise les doigts pour que Marc Moritz nous offre d’autres petites merveilles de ce genre.

Le Roi du Plaquage de Marc Moritz

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Le Roi du Plaquage de Marc Moritz

Le Roi du Plaquage de Marc MoritzLe Roi du Plaquage de Marc MoritzNombre de pages : 216 pages
Editeur : Milady
Date de sortie : 27 février 2017
ISBN-10: 2811219218
ISBN-13: 978-2811219215
Collection : Emotions
Prix : 6,90€
Disponible sur liseuse : OUI

Résumé :

Cent dix kilos de muscles peuvent-ils résister à un mètre soixante de finesse ?

Romain Mevasta est un joueur de rugby comme on n’en fait plus. Et il le sait. C’est aussi un homme comme on n’en fait plus, mais il n’en a pas vraiment conscience. Il n’est pas de ces minets qui posent pour les calendriers. Il court les jupons c’est vrai, un peu, mais pas les soirées de presse. Très peu pour lui. À 35 ans il est en fin de carrière et se trouve à un tournant de sa vie. Il s’est taillé une réputation de cogneur dans sa folle jeunesse, mais en fait ses coéquipiers le surnomment le philosophe parce qu’il lit. C’est un bourru au cœur tendre finalement. Et sa rencontre avec Margot va le bouleverser. Margot est photographe, elle est là pour tirer le portrait des joueur et faire la photo annuelle. Certains joueurs, dont l’ennemi juré de Romain, se montrent un peu agressifs avec elle et Romain fait alors un peu trop honneur à sa réputation. C’est le début des ennuis pour lui et d’une belle histoire entre lui et Margot à qui il devra prouver qu’il est capable de donner sa confiance.

⭐ Mon avis :

Romain Mevasta est un des piliers du rugby. Âgé de trente-cinq ans, il fait parti de l’ancienne génération, celle qui faisait passer le ballon ovale avant les contrats de publicité. C’est aussi un gentleman de presque deux mètres de hauteur, qui va craquer sur la douceur discrète de la jolie Margot.

Bien que l’histoire soit très courte, on s’attache sans peine à Romain, du point de vue duquel l’histoire se déroule. Nous sommes dans sa tête, nous ressentons tout ce qu’il ressent, de ses problèmes de dos à son crush sur Margot.

Et, justement, ce que j’ai aimé avec Le Roi du Plaquage, se tient en plusieurs points : tout d’abord, point de rencontre extravagante, ou de coup de foudre au premier regard. La rencontre, pourtant banale, passe pour inhabituelle, puisque dans la romance d’aujourd’hui, la première rencontre se doit d’être extraordinaire. Pourtant là, nos deux héros se rencontrent par hasard, au supermarché, et c’est en cela que ça fait rêver : nous aussi, on aimerait croiser des montagnes de muscles entre deux allées du rayon fruits et légumes.

De plus, l’histoire est une romance, écrite du point de vue d’un homme, par un homme. En cela, c’est tout simplement notable. En lisant le livre, je ne m’attendais vraiment pas à trouver autant de douceur dans les paroles et dans les pensées d’un homme, en tout cas des paroles et des pensées qui n’aient pas été écrites de la main d’une femme. Et pourtant, Romain se montre plus gentleman et délicat dans sa façon d’être que la plupart des hommes que j’ai pu croiser dans la romance.

L’histoire se passe dans une ville dont le nom n’est pas mentionné, mais le décor est planté en France, et, encore un fait notable, point de Paris de touristes ou de Côte-d’Azur de carte postale. Une petite ville toute simple qui aime le rugby et les joueurs de l’équipe locale. Tiens, parlons-en, de l’équipe locale : Marc Moritz nous entraîne dans l’univers du rugby, trop souvent oublié au profit des sports « à l’américaine », comme le football ou le hockey.  On y voit les dessous d’un monde qui garde une âme plus authentique que le foot français, tout en devenant de plus en plus une histoire de marketing (selon Romain). Un point de vue rafraîchissant sur un sport trop souvent relégué au second plan.

Bref, un très agréable moment passé en compagnie du sublime Romain Mevasta, dont je vous défie de ne pas vouloir lui donner votre numéro de téléphone en refermant le livre. Bien que les personnages soient de purs produits de fiction (dommage), le contexte, lui, est bien réel, et on se prend au jeu. Et au dernier coup de sifflet, on croise les doigts pour que Marc Moritz nous offre d’autres petites merveilles de ce genre.

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