Quatrième de Couverture :
Gwendolyn Bloom a à peine sept ans lorsque sa mère est assassinée sous ses yeux, et dix-sept lorsque son père disparaît brutalement, à la même date. Cette nouvelle épreuve s'accompagne d'une découverte accablante : son père n'est pas un diplomate, comme elle l'a toujours cru, mais un espion travaillant pour le FBI, dont les alliés semblent s'être retournés contre lui, après l'avoir accusé d'être passé à l'ennemi. Désespérée, Gwendolyn décide de partir seule à la recherche de son père qui, elle en est sûre, à été enlevé et reste vivant... Commence alors pour elle une longue traque dans les recoins les plus sombres et les plus dangereux d'Europe. Suivant les indices que son père lui a laissés, à Pars, Berlin puis Prague, Gwendolyn croise les pires spécimens de l'espèce humaine. Et surtout elle comprend très vite que, pour survivre à la cruauté de son ennemi, il faut devenir plus cruel que lui.Note :
♣♣♣♣♣Avis :Alors premièrement, c’est une série ! Je ne le savais pas en le commençant, et je le regrette ! Mais cela explique la fin un peu en queue de poisson.
L’histoire, finalement, est classique. L’héroïne est une adolescente qui découvre que son père lui a menti et que c’est un espion. Elle se lance alors dans une croisade pour le retrouver.
Avec un petit côté Taken ce roman a été un peu décevant. Il se repose beaucoup sur des révélations et des rencontres qui arrivent à point nommé pour aider l’héroïne à avancer dans son « enquête ». Mais l’héroïne elle-même manque de charisme pour porter l’histoire. Ce n’est ni une jeune oie blanche ni un espèce de ninja en couche-culotte.
Elle est molle et n’arrive pas vraiment à changer. Même après être « entraînée » et avoir traversé des moments difficiles, elle reste un peu molle. Ok, elle est capable de faire des actes sans nom dans le but de se rapprocher de son objectif mais… le charisme lui fait défaut malgré tout.
Les rebondissements sont bien distillés mais assez prévisibles. C’est vraiment un Taken-like où l’on renverse les rôles au fond, mais sans être allé au bout des choses. Le genre de roman écrit pour être porté à l’écran à mon sens.
Mais cette héroïne, seule à porter l’histoire, n’aura pas fait l’affaire pour moi. Cela n’a pas marché et du coup je ne pense pas lire la suite.
Infos :
- The Cruelty
- The Cruelty #1
- Scott Bergstrom
- Hachette (février 2017)
- 425 pages
- 18 € (broché) - 12.99 € (numérique)
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- The Cruelty
- The Greed (2018)
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