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Voici ma dernière publication une étrange romance à Strasbourg.
Pourquoi Strasbourg et non pas New York pour une romance?. En premier lieu, les noms de rue sont magnifiques : la rue Gutenberg, la rue des Hallebardes, la rue des Serruriers et la rue du Jeu des Enfants. sont porteurs d’histoire, de traductions, de tout un savoir-faire,
tandis que 26e ou 27e rue évoque pour moi avant tout des séries américaines standardisées.
Voici un court résumé :
Vincent Muller le héros principal de cette nouvelle de 97 pages découvre un soir subitement la vanité et la vacuité de sa vie. En même temps il a des maux de tête qui ne sont atténués ni par le repos ni par les cachets. Il cherche un sens à sa vie. Le hasard lui fait découvrir une rue mystérieuse, sauf que cette rue n’existe pas.
Parallèlement R.C fait un rêve récurrent, elle est dans une chambre, un homme y pénètre et la prend dans ses bras. Elle décide d’en savoir davantage sur ce rêve.
Cette nouvelle prend le contre-pied de ce qui se fait habituellement. En effet dans les romances américaines, tous les personnages sont traumatisés par leurs parents, et ont cours pour cela à des séances de psychothérapie. Il s’agit de clichés éculés et utilisés sans discernement et de façon abusive. Ici les relations parents enfants sont strictement différentes.
Au-delà de l’aspect romanesque et sentimental, cette nouvelle pose problème du sens de l’existence.
La rue mystérieuse ainsi que les moyens utilisés par RC, sans en réalité une métaphore, une sorte de bras de levier, pour atteindre un apaisement.
Certains reconnaîtront les références à James Joyce.
Toutefois cette nouvelle reste malgré toute une romance destinée à faire passer un bon moment.
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