J’ai rencontré Jean-Pierre Vielfaure en 1981 quand il exposait à Corbeil-Essonnes des fragments de son Journal New-Yorkais. En 1985, nous avons publié Un bleu adamantin (éditions Arcam) et, sous un autre format, à sa demande, un livre d’artiste intitulé Vie, la voilà. Je lui en suis reconnaissant.