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Il n'y a pas que les matins qui comptent, il y a aussi le reste de la journée. Chaque fois que je traîne dans les rues, sans avoir de but précis, je suis pris d'un certain vertige, que j'appellerais le vertige du néant. Pour donner un sens à ma vie, je devrais m'asseoir à une table et commander un petit café. En ayant un journal à portée de mains.