Auteur : Stephen King
Editions : Le Livre de Poche
Genre : Imaginaire
Nombre de pages : 862 pages
Date de parution : 07 Juin 2006
Format : Poche
Imaginez une brume qui s’abat soudainement sur une petite ville, une brume si épaisse que les clients d’un supermarché hésitent à en ressortir. Il n’en faut pas davantage au maître de l’épouvante pour nous plonger dans le cauchemar avec un réalisme hallucinant.
Chacune des nouvelles de ce volume possède le même pouvoir ensorcelant. Vous aurez peur d’un petit singe en peluche qui joue des cymbales. Vous redouterez de voir surgir le fantôme d’un camion. Vous saurez de quoi est capable un naufragé solitaire, lorsque la faim le tenaille et que la drogue décuple son courage.
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Depuis des années, M.King fait parler de lui, d'abord à chaque sorti de nouveaux romans, puis lorsque ces romans sont adaptés sur grand écran. Je ne m'en cache pas, avant de plonger dans ses romans, j'avais une légère haine qu'il est créer l'une de mes peurs (cf cette chronique), mais je ne suis pas rancunière, c'est qu'il a du potentiel !
Brume nous embarque donc dans plusieurs histoires farfelues et flippantes, car il s'agit d'un recceuil de 22 nouvelles qu'il a publié au court de 17 années. Il y en a donc pour tous les goûts ! mais avec un même résultat : PLS et une batte de baseball en main.
Il y a des histoires à ne pas lire la nuit, pour ne pas avoir ces scènes en tête lors du coucher, mais pour les romans de Stephen King, c'est comme une drogue : On détecte les effets 72h après ! Déjà que pour les clowns, c'était quelque chose, mais là ... Ce singe en peluche ... J'en ai des frissons.
- Audrey, pourquoi lire du Stephen King alors ?
Arf, mon côté masochiste, je pense. Au moins maintenant, je peux regarder ces films tranquillement, n'étant plus aussi effrayants que les histoires d'origines.
En ce qui concerne les autres romans, je reste quand même partager entre l'envie de les lire, notamment Les Yeux du dragon qui est un autre genre, mais tout aussi tentant, et les fuir loin, loin trèèèèèèès loin ayant déjà une idée de l'état dans lequel je finirais. C'est grave, docteur ?