Dans les années 60, la première de l'année avait généralement pour thème les vacances estivales. Les élèves communicatifs pouvaient s'entraîner auparavant. Il suffisait d'écrire à un copain de vacances en privilégiant un thème ainsi qu'un angle, le mystère, l'humour, ou tout simplement une passion commune (par exemple ). Plus tard, aujourd'hui comme hier, ceux qui aiment le français grandissent. Ils commenteront les événements qui les intéressent sur les réseaux sociaux ou des blogs. Les plus passionnés transformeront ces capacités à exprimer leurs pensées en atout dans le cadre de leur vie professionnelle, voire en métier à part entière.
Le romancier et le nouvelliste transportent leurs lecteurs dans un univers parallèle (un exemple, celui d'un avocat confronté à une situation peu commune ). Si leurs personnages se révèlent attachants et convaincants, ceux qui les découvrent s'identifieront à eux et éprouveront le besoin de les retrouver au fil d'autres tranches de vie. Ce pouvoir de l'auteur le prédispose à raconter des histoires appartenant à un autre genre, celui du storytelling au service d'une entreprise ou d'une affaire judiciaire ! Car qui sait mieux raconter une histoire qu'un romancier ? Pensez-y, et contactez moi le cas échéant pour une mission d'élaboration de scénario, qu'il s'agisse d'édition ou de défense d'image !
Écrire une histoire commune avec un sportif ou une équipe (docufiction) http://bit.ly/1i6dakx (je connais des pilotes dans le monde des sports mécaniques qui représentent aujourd'hui de belles opportunités pour des entreprises dynamiques et audacieuses).